La directrice de l’innovation et de la formation à la Société des arts technologiques (SAT), Véronique Paradis, a profité de sa participation au dernier « 5 à SAT » organisé par l’établissement pour faire part de ses griefs face aux biais des données. Selon elle, les produits et logiciels conçus grâce (...)
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Dans un monde médiatique en constante transformation où la couverture culturelle diminue sans cesse, les trois ambassadeur·rices numériques de NOUS, Angie Augustin (mieux connue comme Citron Rose), Antoine Bouchard-Côtes et Adam Déragon, font plus que jamais la promotion des contenus de chez (...)
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Lorsque le ministre de la Culture et des Communications du Québec était passé au congrès de l’AQPM en 2023, les producteurs étaient déçus du fait que le gouvernement Legault ait annulé les mesures financières mises en place pendant la COVID, qu’ils espéraient pérennes. Le passage de Mathieu Lacombe (...)
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Le ministère de la Culture et des Communications lance l’Appel de projets pour le développement culturel numérique dans la francophonie canadienne, qui se tiendra jusqu’au 21 juin 2024.
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Lors d’une entrevue récente accordée au Lien MULTIMÉDIA, le consultant indépendant dans le secteur du tourisme, de la culture en stratégie et développement des affaires Pierre Bellerose partage son expérience et ses réflexions sur l’impact croissant de l’intelligence artificielle (IA) dans (...)
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La conférence IA et Découvrabilité, organisée par le Mois de la Francophonie, soulignait la fin des activités qui ont eu lieu tout au long du mois de mars. La thématique abordait principalement la fragilité du français dans le paysage technologique contemporain. Elle a permis de mettre en lumière (...)
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Gestionnaire de projets collaboratifs chez Synapse C, Juliette Denis rappelle qu’une bonne utilisation des données peut faciliter la vie des organisations culturelles. « Notre but [chez Synapse C] est d’apporter des outils au secteur des arts et de la culture, en particulier dans des domaines (...)
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Dès 2017, l’Observatoire de la langue française de la Direction langue française et diversité des cultures francophones de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) s’est saisi de la question de la découvrabilité des contenus culturels francophones en ligne pour inscrire des actions concrètes à son agenda.
Alors que l’accès aux contenus culturels en ligne est aujourd’hui concentré dans quelques grandes plateformes internationales, la France et le Québec réaffirment leur attachement à la diversité culturelle et à la place que les cultures nationales doivent occuper dans l’environnement numérique.
TV5 Québec Canada, TV5Monde et l’Université du Québec à Montréal (UQAM) ont signé une entente qui portera sur le partage et l’analyse des données de la nouvelle plateforme francophone mondiale TV5Mondeplus. Ce partenariat permettra aux chercheurs Destiny Tchéhouali et Christian Agbobli, rattachés à la Chaire Unesco en communication et technologies pour le développement de l’UQAM, et aux équipes de TV5 d’étudier les habitudes de consommation des contenus francophones.
L’équipe du Lien MULTIMÉDIA vous présente la 163e édition de CONVERGENCE, le magazine de l’entreprise et de la culture numérique. Disponible en version flash à feuilleter en ligne et en PDF, ce magazine de 75 pages est optimisé pour lecture sur une tablette ou un écran d’ordinateur.
![[PODCAST] Destiny Tchéhouali s’intéresse à la découvrabilité des contenus locaux à l’ère de la pandémie](local/cache-gd2/34/00cfaed6813e9dcf6c070a92a2b9f0.jpg?1706499350)
Professeur au département de communication sociale et publique de l’UQAM et président d’ISOC Québec, Destiny Tchéhouali s’intéresse particulièrement aux enjeux de découvrabilité dans le secteur culturel. Cette période de confinement a soulevé une vague de solidarité envers le personnel médical en donnant lieu à des prestations musicales organisées ou spontanées. Les artistes, particulièrement les chanteurs et les musiciens, au Québec comme ailleurs, utilisent les réseaux sociaux pour lever leur chapeau à celles et ceux qui se trouvent sur la ligne de front, aussi pour rejoindre leurs fans, mais rejoindre aussi un nouveau public et un auditoire diversifié.
À la base, Clément Laberge se destinait à une carrière en éducation des sciences. Il étude à l’Université Laval en sciences et génie et en éducation et obtient son diplôme en 1995, alors que le Web commençait à naître au Québec. Tout de suite, il y a vu un énorme potentiel, toutefois, il existait très peu de choses en français et encore moins de choses produites au Québec, répondant à la réalité culturelle d’ici. Dès le départ, il était convaincu que le Web constituait un excellent outil pour l’éducation, malgré le scepticisme du milieu de l’enseignement.
L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et le Département de Communication sociale et publique de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM) tiennent les 23 et 24 octobre des Journées d’études internationales « Accès et découvrabilité des contenus culturels francophones à l’ère numérique ».
Les institutions comme Radio-Canada, l’Office national du film ou Téléfilm Canada doivent-elles s’inquiéter de leur financement si un gouvernement conservateur prend le pouvoir ? Pas si l’on croit Gérard Deltell. Avec ses collègues Pablo Rodriguez, du Parti libéral, Monique Pauzé, du Bloc québécois, Pierre Nantel, du Parti vert, et Chu Anh Pham du Nouveau parti démocratique, il a participé à ce qui sera probablement le seul débat dans lequel les questions de culture seront à l’avant-plan.
C’est dans les bureaux de TV5 que la ministre du Tourisme, des Langues officielles et de la Francophonie, Mélanie Joly, a fait officiellement l’annonce d’un investissement de 14,6 millions $ du gouvernement du Canada pour la création d’une plateforme numérique francophone destinée au rayonnement et au soutien des oeuvres francophones à travers le monde. Nous étions sur place pour l’occasion.
Nouvellement venue dans le jargon industriel, la découvrabilité désigne le potentiel pour un contenu, un produit ou un service de capter l’attention d’un internaute. Un enjeu donc majeur pour les artistes musicaux qui cherchent de plus en plus à se démarquer sur internet. À l’heure des services d’écoute en continu, quelques experts du domaine se sont réunis dans le cadre de Vues sur la Relève pour faire état de la situation et discuter avec ces artistes en devenir : Guillaume Déziel, Shanti Loiselle et Ludivine Lavenant.
La découvrabilité, dans cet océan de contenu qu’offrent les chaînes de télévision traditionnelles, plateformes numériques et autres sites Web, est devenue le nerf de la guerre pour les producteurs québécois de contenus. Destiny Tchéhouali, professeur substitut à l’UQÀM et chercheur à l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM), en sait quelque chose puisque, au fil de ses recherches, il a pu approfondir le sujet. La première question à se poser est de savoir si les oeuvres circulent, l’enjeu de découvrabilité s’avérant particulièrement important pour la Francophonie, cette communauté invisible.
À l’heure où les producteurs doivent développer des stratégies de promotion, d’exploitation et de mise en marché parallèlement à la production de leur oeuvre, et ce, dès la préproduction, ces derniers s’interrogent sur l’application de la notion de découvrabilité dans un contexte de production de contenu. Les experts Nellie Brière, Laurent Guérin, Nicola Navratil et Josée Plamondon ont échangé sur la question lors d’une discussion animée par Marie-Ève Berlinger, consultante en développement de l’audience, à l’occasion de la conférence « La découvrabilité : qui fait quoi ? » présentée par l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision et l’Association des producteurs d’expériences numériques Xn Québec.
Une production est une marque que l’on souhaite rendre aussi accessible que possible. Pour cette raison, les producteurs doivent plus que jamais intégrer des éléments de promotion, d’exploitation et de mise en marché dès le début du processus de production, entre autres sur le Web. Actuellement, la découvrabilité fait beaucoup jaser.
Nous reproduisons ci-après le Manifeste pour la pérennité et le rayonnement de la culture et des médias nationaux à l’ère numérique émis et signé par une quarantaine d’associations et d’organismes industriels.