Qui fait Quoi vient de publier l’édition de mai 2024 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement revue, modernisée et améliorée. Disponible en ligne en format numérique PDF (77 pages), cette 439e édition de la revue Qui fait Quoi propose notamment un reportage sur les séries télévisuelles « (...)
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Le 40e festival international de cinéma Vues d’Afrique a dévoilé les lauréats et mentions de sa compétition lors d’une cérémonie de clôture qui s’est déroulée au Cinéma Guzzo du Marché Central en présence de nombreuses personnalités et d’invités. La cérémonie s’est conclue par une réception au Baobar et (...)
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Dans le cadre du 40e anniversaire du Festival international Vues d’Afrique, une rencontre sous la forme d’une Leçon de cinéma se tiendra le vendredi 19 avril à 14 h 30 pour illustrer l’engagement de de festival depuis quatre décennies pour la promotion du cinéma africain et créole. Ce sera (...)
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Dans le cadre de la célébration du 40e anniversaire du Festival international de cinéma Vues d’Afrique, la scénariste, réalisatrice et productrice Benita Jacques présentera, en première canadienne, son film documentaire « L’Afrique, berceau de l’humanité et des civilisations modernes » le 18 avril à (...)
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En plein milieu de la 40e édition de Vues d’Afrique, Gérard Le Chêne et les autres dirigeants du festival international de cinéma montréalais ont accueilli pour la première fois leurs homologues du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO). Une délégation en (...)
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Pour célébrer son 40e anniversaire, Vues d’Afrique a mis sur pied, hormis sa programmation de films exceptionnels, une série d’activités qui permettront au public et aux professionnels de partager des expériences et participer à des ateliers, panels et rencontres toutes plus enrichissantes les (...)
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Vues d’Afrique et Historia annoncent la première mondiale du film « Patrick Norman au Rwanda : Le devoir de mémoire » de Charles Domingue en présence de Patrick Norman et du réalisateur. Cette projection se déroule dans le cadre d’une journée sous le thème l’Art au service de la mémoire, conçue par (...)
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Vues d’Afrique nous informe que Gérard Le Chêne, cinéaste, producteur, cofondateur du festival international de cinéma Vues d’Afrique, est nommé Membre de l’Ordre du Canada, une distinction parmi les plus hautes au pays qui lui a été conférée par Julie Payette, gouverneure générale du Canada pour « ses réalisations exceptionnelles et sa contribution à la nation ».
Voici une lettre ouverte à la ministre de la culture et des communications Nathalie Roy cosignée par Réalisatrices Équitables, Femmes du cinéma, de la télévision et des médias numériques (FCTMN), Festival Vues d’Afrique, Terres en vues (Festival international Présence autochtone), Diversité artistique Montréal (DAM), Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ), L’Observatoire du documentaire, DOC Québec et Isuma Distribution / IsumaTV qui souhaitent une relance inclusive, paritaire, et que les artistes, groupes et entreprises culturelles autochtones et de la diversité puissent en bénéficier.
Réalisateur et producteur, Tshoper Kabambi représente la nouvelle génération de créateurs congolais qui oeuvrent et mettent en scène des histoires du continent africain tout en profitant d’un rayonnement international. Fondateur de la compagnie Bimpa Production, le cinéaste originaire de la République Démocratique du Congo se désole, malgré la vitrine remarquable de son plus récent film « Heart of Africa », que le public africain ne pourra sans doute jamais voir ses oeuvres. Lors d’une discussion numérique en marge du 36e Festival Vues d’Afrique, il a tracé le portrait d’une situation qu’il qualifie de catastrophique.
Entrepreneure, photographe de mode et auteure, Racky Diack vit aujourd’hui à Montréal. D’origine sénégalaise et ayant grandi à Paris, celle qui a créé la marque RackyD était invitée par le Festival Vues d’Afrique à prendre part à une discussion sur les réalités culturelles et sociales du continent africain. Le point de départ de cet échange virtuel était le film du Sénégalais Mamadou Dia, « Le père de Nafi », qui raconte le conflit de deux hommes au sujet du mariage annoncé de leur enfant. Dans ce long métrage tout en tension, la jeune Nafi souhaite étudier en neurosciences.
Parallèlement à son métier d’assistant à la réalisation qu’il exerce sur de nombreux projets cinématographiques, Boris Van Gils crée en 2011 Boucan Productions, une société ivoirienne fondée avec Michaël Goldberg. Ensemble, les deux hommes produisent « Viva Riva ! », un drame policier se déroulant en République Démocratique du Congo et qui sera distribué dans une trentaine de pays. Grâce à ce projet qui a été présenté à la Berlinale et au TIFF, le producteur belgo-congolais fait rayonner tout un cinéma africain. Toutefois, encore aujourd’hui, il rencontre de nombreux défis liés à son rôle.
Le 36e Festival Vues d’Afrique a dévoilé les lauréats et mentions de sa compétition lors d’une cérémonie de clôture virtuelle accessible en ligne le lundi 27 avril. Ce support a permis à tous les festivaliers et au large public d’assister à cette remise de prix et aux réactions des gagnants à travers le monde entier sur la plateforme de Vues d’Afrique.
Dans « Myopia », son deuxième long métrage, Sanaa Akroud filme le récit de Fatem, une femme enceinte de six mois qui, pour venir en aide à l’aîné de son village, quitte les hautes montagnes marocaines pour la ville, afin de remplir un cadre de lunettes vide pour ce dernier. Populaire actrice au Maroc, son pays d’origine, la réalisatrice témoigne dans ce film de la réalité de femmes qu’elle a rencontrées durant sa carrière et son parcours. Elle a discuté de sa démarche avec Qui fait Quoi en marge du 36e Festival Vues d’Afrique où l’oeuvre, coproduite par sa propre société, la Maison du scénario, et celle de Marouazi Mahammed, l’Étoile du Canada, était présentée.
C’est après la mort d’un de ses proches, décédé accidentellement à 31 ans, que Simon Plante est parti rejoindre sa copine au Bénin. Ayant déjà entamé des recherches sur les rites funéraires, le deuil et le vaudou, il a appris qu’une famille africaine avait également perdu un des leurs, aussi âgé d’une trentaine d’années. Reconnaissant le lien possible à faire entre ces deux histoires, il est allé tourner « Pour ne plus mourir », moyen métrage documentaire, avec une petite subvention du Conseil des arts et des lettres du Québec, qui se retrouve dans la programmation du 36e Festival Vues d’Afrique.
Fruit d’un projet d’études en cinéma documentaire, « Playeros : travailleurs des plages » est né lorsqu’Alexandre Beaumont Vachon est allé rejoindre son père dans un tout-inclus de la République Dominicaine. Ayant toujours senti un inconfort face à ce type de complexe hôtelier, notamment en ce qui a trait à l’écart de richesse entre les visiteurs et les travailleurs, il a voulu explorer le malaise éthique qu’il ressent face à la présence de Canadiens dans ces pays plus pauvres.
Pour sa 36e édition, Vues d’Afrique se réinvente. Non seulement, l’événement mute vers une version 100 % numérique du 17 au 26 avril, mais l’équipe de programmation fait peau neuve. Cette année, Kotimi Guira et Aurore Laforge ont concocté une programmation regroupant au moins 64 oeuvres provenant de 27 pays différents que les cinéphiles pourront visionner gratuitement via la plateforme de TV5. Respectivement chargée de programmation internationale et responsable des sections Regards d’ici et jeunesse, les deux collègues ont partagé les défis liés à leur rôle lors d’une conférence de presse téléphonique.
![[PODCAST] Vues d’Afrique : Sara Nacer raconte la nouvelle Algérie avec « Qu’ils partent tous »](local/cache-gd2/87/7dcef3f716b13f41af643414e0ae06.jpg?1706535156)
Avant de se rendre en Algérie pour y filmer « Qu’ils partent tous », Sara Nacer a senti le besoin de faire découvrir un pays que plusieurs ne connaissaient pas. Alors que cette nation a souvent été considérée comme appartenant « aux autres pays arabes » dans l’imaginaire collectif, la réalisatrice souhaitait la faire exister en tant qu’entité distincte, à l’image de la « révolution du sourire » qu’elle immortalise dans cette première oeuvre documentaire présentée à l’occasion du Festival Vues d’Afrique.
Directeur du Centre international de documentation et d’information haïtienne caribéenne et afro-canadienne (CIDIHCA), Frantz Voltaire entretient une relation toute privilégiée avec Vues d’Afrique depuis 1984. En effet, le directeur du CIDIHCA, qui faisait également partie du conseil d’administration à l’époque, a vu naître le festival dans ses propres bureaux. Aujourd’hui, cette aventure se cristallise avec sa nomination à titre de parrain pour la 36e édition de l’événement. Avec Qui fait Quoi, il est revenu sur l’indispensable nécessité d’appuyer une initiative comme celle du Festival Vues d’Afrique, cofondé par Gérard Le Chene.
À la suite des nouvelles directives annoncées par les gouvernements canadien et québécois, Vues d’Afrique s’est retrouvé devant une impasse. À trois semaines de l’annonce de la programmation, le festival devait se transformer. Dans le contexte de pandémie actuel, les décisions ont dû être prises rapidement afin de proposer une 36e édition autrement. En effet, l’événement s’opère toujours du 17 au 26 avril. Il est cependant diffusé en ligne en partenariat avec TV5 sur sa plateforme Web.
Rendez-vous incontournable du cinéma africain et créole en Amérique du Nord, l’édition 2020 de Vues d’Afrique se veut novatrice, moderne et riche en découvertes. Pour renouveler son organisation, la direction du festival a renforcé tout le secteur numérique pour se déployer de manière proactive dans le monde virtuel et a mis en place des ressources adéquates qui lui permettent de répondre à la situation actuelle.