Le Lien MULTIMÉDIA comprend:

  • 50 numéros du bulletin-HTML
  • Mot de passe pour www.lienmultimedia.com
  • Quotidien par courriel
  • 12 numéros du magazine CONVERGENCE
  • 1 Guide de l’industrie::NUMÉRIQUE
  • 1 Guide de l’industrie::WEB
  • 1 Guide de l’industrie::MOBILE
  • 1 Guide de l’industrie::JEUX VIDÉO
  • 1 Guide de survie::START-UP

CONNEXION

  • Abonnement
  • Publicité
  • Contact
  • Guide industrie
  • Vidéos
  • Podcasts
  • magazine CONVERGENCE
  • Boutique
  • Numérique
  • Jeux Vidéo
  • Mobile
  • Animation
  • Informatique
  • Arts Médiatiques
  • Marketing
  • Musique
  • Industrie
  • Réalité virtuelle
  • Intelligence artificielle
  • Startups
  • Artisans du numérique
  • Conseils d’experts
  • Exclusifs
  • SUIVEZ-NOUS

    RSS

    RECEVEZ GRATUITEMENT
    LE BULLETIN QUOTIDIEN [voir un exemple]

    Samy Lamouti présente Neweb Labs, là où Maya Kodes est née

    20 avril 2019, 10h15
         |      Article rédigé par Sophie Bernard

    Samy Lamouti, directeur technique de Neweb Labs, boîte lancée en 2018 par Productions Vox Populi, explique qu’il a fallu trois ans de recherche et de développement pour mettre au point le personnage virtuel et interactif Maya Kodes. Elle chante et elle danse à travers le monde. Et pourtant, on ne peut pas la toucher. Parce que Maya Kodes est virtuelle, ce qui ne l’empêche pas d’être interactive. Nous l’avons croisée alors qu’elle répétait un spectacle. Créée par Neweb Labs, Maya Kodes donne déjà des prestations partout dans le monde.

    Samy Lamouti présente Neweb Labs, là où Maya Kodes est née Samy Lamouti. Photo: Juliette Rolland

    Tupak et Madonna, entre autres, ont déjà utilisé le procédé de l’hologramme dans leurs spectacles, mais sans interactivité, note le directeur technique de Neweb Labs. Car Maya Kodes peut interagir avec le public. Pour la créer, l’équipe a utilisé plusieurs technologies, dont la capture de mouvement, la capture faciale, un engin de jeu vidéo et des installations de diffusion holographique. « Cela a demandé de gros investissements, reconnaît Samy Lamouti. Nous nous trouvons dans la fine pointe de la technologie, cela demande de la recherche et du potentiel humain. Nous utilisons le même matériel que celui utilisé dans les grands studios hollywoodiens. Nous utilisons des effets visuels et des écrans verts, mais aussi des technologies de jeu vidéo et nous détournons tout ça pour faire du direct, de la magie. » Derrière ce projet, on retrouve une jeune équipe, dont Véronique Bossé à la direction technique, la chorégraphe Axelle Munezero, la danseuse Véronique Lorena H. Tomala et la chanteuse Vanessa Roque.

    Maya demeure le gros projet de Neweb Labs, toutefois le jeune studio travaille sur d’autres projets, dont les talking heads, des têtes parlantes, contrôlées par des humains, puisque, estime Samy Lamouti, l’intelligence artificielle a, pour le moment, ses limites. Ces têtes parlantes se retrouvent aujourd’hui un peu partout dans le monde, elles agissent comme des concierges virtuels, accueillant les gens lors d’événements, les divertissant et leur donnant des conseils ou des informations. « Les gens ont davantage de facilité à parler avec des personnages virtuels, souligne le directeur technique. Et on peut personnaliser ces personnages, même si il y a un comédien derrière physiquement. »

    Autre projet sur lequel l’équipe de Neweb Labs oeuvre, Zamigo, une première application mobile d’assistant virtuel visuel 3D activé par l’intelligence artificielle. À l’heure où tous les géants d’Internet comme Amazon et Google développent des assistants vocaux, Samy Lamouti et son équipe misent sur les personnages. « Alexa, on ne sait pas si elle est blonde ou rousse, illustre-t-il. Bientôt, on n’aura même plus à taper une recherche dans Google pour avoir des réponses. On aura seulement à demander à son assistant virtuel. Shazam a été le premier à se lancer. Aujourd’hui, de nombreux services facilitent le quotidien. L’intelligence artificielle va modeler le futur. »

    Pour la suite, Neweb Labs va continuer à développer des personnages holographiques interactifs, effectuer de la recherche et du développement et regarder ce qui se fait ailleurs dans le monde. Samy Lamouti y voit un potentiel énorme, même si le marché demeure difficile. « Nous voulons offrir des expériences ludiques et interactives et trouver les dernières technologies qui pourraient s’appliquer dans divers domaines, dont l’éducation, le divertissement, le spectacle, la télévision et le Web. Nous ne voulons pas nous limiter à un seul média et nous voulons sortir de notre zone de confort », conclut-il.

    Sur le même sujet

    Intéressé.e à reproduire l'article, la photo ou la vidéo ?

    En bénéficiant de notre licence de reproduction, vous pourrez :

    • publier cet article dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • en modifier la longueur
    • recevoir les photos (et vidéos, si applicable) en haute résolution
    • publier les photos (et vidéos, si applicable) dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • le contenu devient public sur notre plateforme, ce qui vous octroîe encore plus de visibilité

    DERNIERS ARTICLES

    Nuvei répond aux récents articles de presse

    Nuvei répond aux récents articles de presse

    Suite
    18 mars 2024, 10h00
    L’ÉTS souligne ses 50 ans

    L’ÉTS souligne ses 50 ans

    Suite
    18 mars 2024, 10h00
    FIFA Connexions veut réfléchir au rôle des festivals

    FIFA Connexions veut réfléchir au rôle des festivals

    Suite
    18 mars 2024, 03h05
    Don Ritter : l’humain derrière la technologie

    Don Ritter : l’humain derrière la technologie

    Suite
    18 mars 2024, 02h30