Jean-Christophe J. Lamontagne et Stéphanie Demers s’associent pour faire l’acquisition du catalogue de Fragments Distribution et lancer une nouvelle branche consacrée au long métrage, dirigée de manière bicéphale au sein d’h264.
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La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) soutiendra dix longs métrages de fiction dans le cadre de son programme d’aide à la production (volet 1 – aide sélective à la production de longs métrages de fiction), à la suite du dépôt du 12 août (...)
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Dans son premier film, Charles-Émile Lafrance pose sa caméra sur Roger Lecot, un bûcheron des Basses-Laurentides arrivé à la retraite. À quelques mois de cette nouvelle étape, l’homme veille à léguer ses derniers conseils à Charles, son apprenti, qui reprendra les rênes de l’entreprise. C’est au (...)
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Fragments Distribution annonce que le premier film de Charles-Émile Lafrance, « Code Forestier », sortira en ligne le 20 octobre 2020. Les cinéphiles pourront également le précommander dès maintenant. « Code Forestier » a été sélectionné au prestigieux DOK.Fest à Munich en mai dernier, dans la section (...)
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Fragments Distribution et Némésis Films s’apprêtent à mettre en ligne le documentaire « La dernière plongée de Dave » (« Dave Not Coming Back ») du cinéaste québécois Jonah Malak. Le film sera disponible en version originale anglaise sous-titrée en français sur les plateformes de visionnement en ligne (...)
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Ayant baigné dans le monde de la littérature dans sa jeunesse, Jonah Malak (alias Karim Haroun) s’est toujours fasciné pour les grandes histoires. Celle qui s’est dévoilée à lui concerne Dave Shaw, spéléoplongeur, qui a convaincu son ami Don et huit autres collègues de s’aventurer dans le fond d’une (...)
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Les distributeurs ont eux aussi souffert de la pandémie, les salles se trouvant fermées pendant la plus grande partie de l’été. Même depuis la réouverture des cinémas, le public ne se bouscule pas encore dans les salles obscures. Mais les distributeurs ne se sont pas croisés les doigts en (...)
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Jimmy est prisonnier de la spirale du manque et de la dépendance aux drogues de la rue. Il est un être blessé courant après ses chimères avec une force sauvage. Un jour, Jimmy est contraint de reprendre contact avec sa famille. Le retour du chien galeux au sein de la meute réanime des vieux démons pour son frère aîné, Nathan.
Durant sa plus tendre enfance, le premier métier que voulait pratiquer Ludovic Dufresne était météorologue. Fasciné depuis toujours par tout ce qui est de l’ordre du céleste, de ses manifestations et transformations, le réalisateur a finalement pris conscience que la portée poétique et magique des phénomènes météorologiques était ce qui l’intéressait plus particulièrement. C’est donc tout naturellement que son plus récent court métrage « août. septembre. », sélectionné à Talent tout court, s’articule autour de ce sujet et de deux personnages s’apprivoisant face à leurs différences. Rencontre avec le jeune cinéaste en marge du 72e Festival de Cannes.
En 2011, Jorge Camarotti réalise son premier court métrage « 165 Days ». Après un parcours en photographie où il signe, entre autres, « Les Chroniques du Mile-End », un livre de photographies, il se rapproche de ses premières amours, le cinéma. Sept ans plus tard, il revient derrière la caméra pour « Kinship », un court métrage produit par la boîte 53/12 de François Delisle. Le film était projeté à REGARD et pour l’occasion Qui fait Quoi s’est entretenu avec le réalisateur.
L’équipe du Lien MULTIMÉDIA est ravie de vous présenter la 148e édition de CONVERGENCE, le magazine de l’entreprise et de la culture numérique. Disponible à www.lienmultimedia.com/c/148 en version flash à feuilleter en ligne et en PDF, ce magazine de 75 pages est optimisé pour lecture sur une tablette ou un écran d’ordinateur. On y trouve une série d’articles sur le film « Ca$h Nexu$ » de François Delisle avec François Papineau, Lara Kramer et Alexandre Castonguay (en couverture), les spectacles « Phenomena » d’Ismaël Mouaraki, « Parce que la nuit » mis en scène par Brigitte Haentjens avec Céline Bonnier, plusieurs articles sur le Printemps numérique, notamment une entrevue avec son directeur général Mehdi Benboubakeur et sa porte-parole Ariane-Li Simard-Côté, des reportages sur « Traveling While Black » et « Space Explorers » de Felix & Paul Studios, « À l’est des Rocheuses » et « Clit-moi » de l’ONF, entre autres... Bonne lecture !
Jeune membre de la Coop Vidéo de Montréal, Jean-Martin Gagnon développe depuis quelques années une expertise en production, notamment en tant qu’adjoint aux producteurs pour « Écartée » de Lawrence Côté-Collins et pour « Les mauvaises herbes » de Louis Bélanger. Récemment, il a agi en tant que producteur délégué sur « Un paradis pour tous » de Robert Morin et sur le court métrage « Le 11 avril dernier » de Yoakim Bélanger. Parallèlement à ce rôle, il déploie une carrière en réalisation avec « Planter » et « Puisqu’on se tue toujours trop tard », ce dernier ayant été présenté dans le cadre du Festival REGARD.
Le plus récent film de François Delisle se veut un cri de révolte avant tout, une interrogation sur le rapport que nous avons avec l’autre, ce rapport souvent prescrit par l’argent. Ce point de départ, le réalisateur l’a ensuite ramené à son univers, à savoir les relations interpersonnelles, son matériel de prédilections, et, dans ce cas-ci, la relation entre deux frères, Jimmy (Alexandre Castonguay), le toxicomane qui vit dans la rue et Nathan (François Papineau), le cardiologue avec une grosse voiture, une femme magnifique (Evelyne Brochu) et un appartement de luxe. « On parle de fraternité, c’est la question que je me pose, mon point de départ », explique François Delisle à Qui fait Quoi.
Dans « Ca$h Nexu$ », le plus récent film de François Delisle, Alexandre Castonguay et Lara Kramer incarnent un couple de toxicomanes complètement accros, dormant la plupart du temps dans la rue. Angie se prostitue pour sa prochaine dose, alors que Jimmy emprunte de l’argent et mendie. Pourquoi avoir accepté ces rôles difficiles ? Pour le projet, répondent-ils.
Dès maintenant les cinéphiles pourront se procurer à la Cinémathèque québécoise ainsi qu’au Cinéma Beaubien le livre « Parallaxe ». Inspiré de l’univers du film « Ca$h Nexu$ » de François Delisle, « Parallaxe » est un projet photographique créé par Anouk Lessard, incluant des illustrations inédites de Mivil Deschênes et le scénario complet du film.
L’acteur François Papineau connaissait François Delisle pour avoir assuré la narration sur « Le Météore » (2013), mais il n’avait jamais été dirigé par le réalisateur. Avec « Ca$h Nexu$ », c’est maintenant chose faite. Le film, qui met aussi à l’écran Alexandre Castonguay (Jimmy), Lara Kramer (Angie), Evelyne Brochu (Juliette), Christiane Pasquier (Ève) et Guy Thauvette (Emmanuel), prend l’affiche le 22 mars. Qui fait Quoi a discuté avec l’acteur.
Fragments Distribution vient de dévoiler la bande-annonce, ainsi que l’affiche du prochain long métrage de François Delisle, « CA$H NEXU$ », qui sortira le 22 mars prochain.
Trois jours après avoir pris des images pour « Réservoir » à Montréal, Julie Groleau et toute l’équipe du premier long métrage de Kim St-Pierre se transportent en Haute-Mauricie pour 14 jours de tournage. Ils vont filmer au réservoir Gouin le voyage de pêche improvisé de deux frères, Simon et Jonathan, dont le père vient de décéder. Qui fait Quoi a rencontré la productrice de Couronne Nord sur le plateau avant son départ vers La Tuque.
Après une série impressionnante de courts métrages, des vidéoclips ainsi que des webséries, Kim St-Pierre filme son premier long métrage, « Réservoir », le récit de Simon et Jonathan, deux frères qui, après le décès de leur père, décident de s’offrir un voyage de pêche dans l’espoir de retrouver le chalet familial sur les berges du réservoir Gouin. Alors qu’elle s’apprête à prendre la route vers la Haute-Mauricie avec son équipe, la réalisatrice a discuté du projet avec Qui fait Quoi sur le plateau de tournage à Montréal où elle y est passée trois jours.
Oeuvrant comme directeur artistique depuis environ sept ans, Sam B. Cloutier participe au premier long métrage du réalisateur Ara Ball « Quand l’amour se creuse un trou ». À travers ce projet, il contribue à en préciser l’univers qui gravite autour de deux demeures, celles de Miron, un jeune délinquant qui vient habiter à la campagne avec ses parents professeurs universitaires dans le but de terminer ses études secondaires, et de Florence, une dame plus âgée qui vit juste à côté et dont l’adolescent s’éprendra. Rencontré sur le plateau de tournage, le directeur artistique a partagé avec Qui fait Quoi les détails de sa démarche.
Après avoir étudié la physique et vécu plusieurs années au Mexique, Kacim Azouz Steets se découvre une passion pour le septième art. Il produit, sous Blackboard Production, plusieurs courts métrages documentaires et de fiction en plus d’assurer la direction photo sur la plupart des projets qu’il accompagne. C’est donc sans surprise qu’il porte ces deux mêmes chapeaux pour « Quand l’amour se creuse un trou », le premier long métrage de fiction d’Ara Ball. Qui fait Quoi s’est entretenu avec lui sur le plateau de tournage.