perte de signal organise une discussion avec Anna Eyler et Nicolas Lapointe sur leur nouvelle oeuvre le jeudi 4 novembre à 14h30, en direct du rustines_lab, pour une discussion en ligne en compagnie de l’artiste Sofian Audry.
Quel avenir pour l’intelligence artificielle ? Répondre à cette question revient à définir les axes de recherche et les développements actuels et futurs de l’intelligence artificielle. En fonction des besoins de l’industrie en matière d’algorithmes, mais aussi des vues philosophiques portées sur ces nouvelles technologies, les avenues explorées ne sont pas les mêmes. Les compagnies technologiques, de même que les centres de recherche, ne jurent actuellement que par l’apprentissage machine, par exemple. Rapport des propos de Marine Theunissen (artiste, Hexagram), Sofian Audry (Perte de Signal, Hexagram), Ghyslain Gagnon (ÉTS, Hexagram) et Maxim Chevalier-Boisvert (MILA) pour découvrir les axes de recherche et développements présents et futurs dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Si l’intelligence artificielle suscite bien des espoirs, elle présente aussi de nombreuses limites. C’est autour de cette constatation qu’ont tourné les discussions de François Quévillon (artiste), d’Alexandre de Brébisson (Lyrebird), de Sofian Audry (Perte de Signal, Hexagram) et de Christopher Salter (Concordia, Hexagram), lors du panel animé par Matthieu Dugal, à l’occasion du Forum « L’intelligence artificielle dans le milieu des arts médiatiques, de l’industrie et du savoir : Réalisations, avancements et limites », qui s’est tenu à l’UQÀM en février 2020. Compte-rendu du panel pour connaître leur avis, leurs expériences et leurs projections au sujet des limites de l’intelligence artificielle. Un événement organisé par le CQAM en collaboration avec l’UQÀM, Hexagram et Element AI.
Le coup d’envoi du festival KIKK est lancé ! Les artistes québécois Rosalie D. Gagné, Sofian Audry et Martin Messier participent au festival namurois qui se tient jusqu’à dimanche.
Quelle différence peut-on faire entre la création et la créativité ? Pour répondre à cette question, les organisateurs de l’édition 2019 d’Elektra et du MIAN ont réuni un panel d’artistes composé de Marilène Olivier, Jonathan Parsons, Hiroko Tasaka et Kaka Fritz Kim. Animée par Sofian Audry, la discussion a abordé les thèmes de l’art critique et du divertissement, de la technologie comme argument de financement, de la démocratisation des expériences numériques et de la collaboration entre artistes et scientifiques. Retour en détails sur la table ronde pour en apprendre davantage sur les opinions et expériences des artistes en matière de création.
L’artiste et programmeur informatique Sofian Audry explore le potentiel esthétique dans l’exploitation de différentes formes d’intelligences artificielles. Le Lien MULTIMÉDIA l’a rencontré à l’occasion du lancement du Printemps numérique.
Alors que le Festival ELEKTRA se faisait plus discret l’an dernier avec l’arrivée de la Biennale d’art numérique (BIAN), il revient en force cette année, avec un thème, ANTI/MATIÈRE, qui fait passer le visiteur de l’abstraction pure à des univers parfois narratifs ou figuratifs. La programmation, juste équilibre entre productions locales et artistes internationaux, offre au public montréalais l’occasion de découvrir ce qui se fait à l’extérieur mais aussi, par l’entremise du Marché international d’art numérique (MIAN), permet à un public spécialisé venu d’ailleurs de découvrir le foisonnement d’ici dans le domaine de l’art numérique. Nous avons rencontré le directeur artistique Alain Thibault pour discuter d’ELEKTRA 14 et pour parler des retombées du MIAN. Le fondateur de la BIAN en a aussi profité pour nous dévoiler les grandes lignes de l’édition qui se tiendra au printemps prochain.
Flag est une installation qui se sert d’une technologie de reconnaissance vidéo pour mettre en relation différents univers sémantiques. À la recherche d’interprétations et de sens, Sofian Audry dit s’être inspiré du choc culturel pour son installation. Le Lien MULTIMÉDIA a rencontré l’artiste lors de son exposition à la bibliothèque nationale dans le cadre des états généraux du CQAM.