« Jules au pays d’Asha », aboutissement d’un long processus créatif pour Sophie Farkas Bolla
Avec son premier long métrage, « Jules au pays d’Asha », Sophie Farkas Bolla souhaitait parler du pouvoir de l’imaginaire de l’enfance lorsque vient le temps de surmonter des périodes difficiles. À travers cette idée allait émaner une histoire d’amitié entre deux enfants issus de cultures différentes, un garçon souffrant d’une mystérieuse maladie de la peau et une jeune fille autochtone. Au fil de leur aventure, ils vont grandir, se transformer, prendre conscience de qui ils sont et apprendre, avoir confiance en eux et comprendre le rôle qu’ils jouent dans le monde. Le processus d’écriture de ce film jeunesse produit par Hany Ouichou et Kim O’Bomsawin via Bêtes lumineuses, Terre innue et la Coop Vidéo de Montréal fut très long, rapporte la scénariste et réalisatrice en entrevue.