Alors que le développement durable semble être au cœur des préoccupations des québécois·es, une étude dévoilée par Evol démontre que les entrepreneur·es sont freiné·es dans leurs démarches d’intégration à cause de leur manque de familiarité avec le développement (...)
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Au terme de son assemblée générale annuelle du 7 septembre dernier, Evol est fière d’annoncer la composition de son conseil d’administration pour l’année 2023-2024 et, ainsi, d’accueillir de nouveaux·velles administrateur·trices.
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Evol publie son rapport annuel pour l’année 2022-2023. Depuis plus d’un an et demi, Evol poursuit son ambition de transformer l’économie en vue de la rendre plus inclusive, plus équitable et plus durable, par la voie du développement et du soutien de l’entrepreneuriat (...)
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Nommée au terme d’un processus de sélection rigoureux, le conseil d’administration d’Evol est fier d’annoncer la nomination de Géraldine Martin au poste de présidente-directrice générale.
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Ayant pour mission de financer et d’accompagner les entreprises à propriété diversifiée ayant un impact positif sur la société, Evol publie son tout premier rapport de financement d’impact pour faire le bilan des retombées générées depuis la création de l’enveloppe de financement (...)
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Pascale St-Onge, ministre des Sports et ministre responsable de DEC, a annoncé deux contributions financières totalisant 9 475 800 $ à Evol afin de soutenir les entrepreneur·e·s issu·e·s de groupes sous-représentés.
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Evol salue l’annonce réalisée par la ministre du Commerce international, de la Promotion des exportations, de la Petite Entreprise et du Développement économique, Mary Ng, et devient mandataire pour le déploiement du Fonds de prêts pour les femmes en entrepreneuriat au Québec, en collaboration (...)
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Femmessor a nommé Danièle Henkel au titre de porte-parole de son organisation. Elle joint ainsi sa voix à celle de Sévrine Labelle, présidente-directrice générale de Femmessor et des 15 directrices régionales, afin de promouvoir le développement de l’entrepreneuriat inclusif et diversifié.
Pendant la pandémie, les femmes ont écopé davantage que les hommes, c’est un fait documenté. Lors du Forum sur la diversité entrepreneuriale, organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et Femmessor, Caroline Arnouk, fondatrice et présidente de Technologies OPA, Souad Elmallem, associée exécutive chez 6temik, et Tania Saba, titulaire de la Chaire BMO en diversité et gouvernance et professeure titulaire à l’École de relations industrielles de l’Université de Montréal, ont discuté des enjeux auxquelles font face les femmes et, particulièrement, les femmes entrepreneures, dans une discussion animée par Véronique Dargis, directrice du rayonnement des affaires de Femmessor.
La Chambre de commerce du Montréal métropolitain et Femmessor dévoilent leur étude intitulée Diversité entrepreneuriale : des impacts majeurs pour le Québec et sa métropole. Cette étude s’inscrit dans la volonté de la Chambre et de Femmessor de valoriser l’apport économique, social et environnemental de l’entrepreneuriat féminin et de celui issu de la diversité au Québec et dans sa métropole.
Femmessor salue le dévoilement de l’Indice entrepreneurial québécois 2020, qui a été rendu public par le Réseau Mentorat. Le rapport est teinté par les impacts de la pandémie, qui a notamment eu des effets sur l’enthousiasme des québécois.e.s face à l’entrepreneuriat, mais il met en lumière la résilience des entrepreneur.e.s., particulièrement chez les femmes et les personnes immigrantes.
D’année en année, on voit le taux de femmes entrepreneures augmenter au Québec. Selon les données de l’Indice entrepreneurial québécois de 2019 - donc pré-COVID-19 - la croissance du taux global des femmes désirant se lancer en affaires est passée de 5,2 % en 2018 à 5,6 % en 2019, alors qu’il diminuait pour les hommes (de 7,6 % à 6,8 %). L’égalité femmes et hommes chez les nouveaux entrepreneurs (moins d’un an en activité) s’avère de 52 % d’hommes contre 48 % de femmes. Mais qu’en est-il du mentorat au féminin dans ce contexte ? Pour en discuter, la RBC a organisé un webinaire rassemblant Rina Marchand, directrice principale, Contenus et innovation du Réseau Mentorat, Catherine Blier, cofondatrice de la Distillerie Vent du Nord, Mai Duong, initiatrice de la campagne Save Mai Duong, et Nadine Renaud-Tinker, présidente de RBC Banque Royale au Québec.
Femmessor félicite l’initiative du gouvernement du Québec qui a réuni le 28 janvier une centaine de femmes d’affaires, d’entrepreneures et de dirigeantes afin de discuter de développement économique au féminin. Pas moins de quatre ministres ont pris part aux discussions ; le ministre de l’Économie et de l’Innovation, Pierre Fitzgibbon, la ministre déléguée au Développement économique régional, Marie-Ève Proulx, la ministre responsable des Relations internationales et de la Francophonie, Nadine Girault, et la ministre responsable de la Condition féminine, Isabelle Charest, ainsi que la députée de Châteauguay et présidente de la Commission des relations avec les citoyens, Marie-Chantal Chassé.
Alors que les organisateurs d’Expo Entrepreneurs annonçaient 8 000 participants des quatre coins du Québec pour sa deuxième édition, on peut croire que l’entrepreneuriat se porte bien au Québec. Pour dresser un état des lieux, ils ont invité Daniel Gagné, directeur régional des Services aux entreprises et à l’Entrepreneuriat du ministère de l’Économie et de l’Innovation, Robert Beaudry, conseiller de la Ville de Montréal, Josée Lupien, présidente de Vertima et Patrick Pérus, PDG de Polycor, dans une discussion animée par Sévrine Labelle, PDG de Femmessor.
Femmessor et le Réseau des Femmes d’affaires du Québec (RFAQ) dévoilent un nouveau partenariat qui permettra aux entrepreneures actuellement soutenues par Femmessor d’adhérer au RFAQ et de perfectionner leur stratégie d’exportation grâce au Programme Développement économique Féminin (DEF).
Nathalie Rochefort, directrice par interim de Femmessor-Montréal, explique au Lien MULTIMÉDIA la mission de Femmessor, un organisme peu connu en dehors des milieux entrepreneuriaux féminins, mais qui gagnerait pourtant à l’être. Financé par le ministère des Finances et de l’Économie (anciennement MDEIE) et par FIlaction, il vise le développement économique voué à l’entrepreunariat féminin.