Catalina Briceño.
Photo: Courtoisie
Vers une redéfinition du contenu canadien ?
En 1949, le gouvernement canadien mettait sur pied la Commission royale d’enquête sur l’avancement des arts, des lettres et des sciences, mieux connue sous le nom de Commission Massey, qui devait déterminer les lignes directrices de la nouvelle politique culturelle canadienne. Déposé en 1952, ce rapport a commencé à définir ce qu’on appellera le « contenu canadien » ou « cancon » selon son diminutif anglophone. Depuis, le paysage du pays, mais aussi de l’audiovisuel, a énormément changé. Faut-il redéfinir le concept du contenu canadien ?