Quelques membres de l'équipe du recrutement de Gameloft Montréal.
Photo: Myriam Baril-Tessier
Leur métier : chasseurs de têtes pour Gameloft
Ils épluchent les curriculums et les profils en ligne, font passer des annonces, vont dans les écoles, font le tour de leur réseau de contacts. L’équipe de recrutement de Gameloft, à Montréal, travaille d’arrache-pied à dénicher les meilleurs candidats. « On est constamment en recrutement ; c’est très rare qu’on n’ait aucun poste à combler », indique Nicholas Lupien, qui peut recevoir jusqu’à 500 CV par semaine.