Pour une meilleure solidarité entre les différentes parties composant l’écosystème du documentaire québécois
Pour un diffuseur québécois, le documentaire est un genre difficile à travailler. Outre les stratégies internes qu’il implique de revoir, le marketing pose plusieurs complications. Alors que les efforts des équipes de communications sont mis dans les séries de fiction, il est difficile de faire se distinguer des documentaires unitaires qui sont souvent relayés dans une case horaire systématique englobant tous les types et tous les sujets. Lors du dernier Forum RIDM, la parole était donnée à trois représentants de télédiffuseurs au Québec venus s’exprimer sur la question : Jean-Pierre Laurendeau (Bell Média), Georges Amar (Radio-Canada) et Jerôme Hellio (TV5/Unis TV).