Les éditeurs musicaux cherchent à valoriser et maximiser le répertoire des oeuvres d’ici
Il n’y aurait pas de recette pour établir le pourcentage du budget alloué à la musique pour une production cinématographique ou télévisuelle québécoise. Tout dépend de la vision de l’auteur ou du réalisateur par rapport à ce poste clé qui fait partie intégrante de la structure budgétaire. Mais, il n’en demeure pas moins qu’en pratique les morceaux musicaux sélectionnés ou encore le travail de collaboration qui s’opère avec un compositeur pour des arrangements originaux implique une réflexion amorcée en amont de la production. C’est précisément ce qu’ont réitéré les intervenants invités au panel de l’APEM (Association des professionnels de l’édition musicale) intitulé « De l’intention à la production ».