L’aventure un peu casse-cou de « La grande noirceur »
« La grande noirceur », quatrième long métrage de Maxime Giroux, s’est concrétisé après que Sylvian Corbeil et ce dernier n’aient pu obtenir l’appui des institutions pour financer un autre projet de fiction. Parce qu’il croit fermement au talent du réalisateur de « Félix & Meira », le producteur chez Métafilms a plongé dans l’aventure un peu casse-cou de ce nouveau film qui devait être conçu rapidement. « J’avais un peu d’argent de côté, Maxime travaillait un peu en publicité. Nous avons mis plusieurs dizaines de milliers de dollars sur la table pour démarrer la machine », raconte-t-il lors d’une rencontre avec Qui fait Quoi en marge du Festival international du film de Toronto.