L’approche cinématographique de « Kanata » rejoint les préoccupations esthétiques d’Isabelle Stachtchenko
Ayant collaboré à plus d’une dizaine de courts métrages dont ceux de Guillaume Colin et de Sandrine Brodeur-Desrosiers, Isabelle Stachtchenko est passée au long métrage avec son travail sur « Claire l’hiver » de Sophie Bédard Marcotte et « Oscillations » de Ky Nam Le Duc, deux films présentés lors de la dernière édition du Festival du nouveau cinéma. Elle renoue son partenariat avec le cinéaste d’origine vietnamienne sur « Kanata », un récit axé autour de trois personnages masculins dans un contexte sociopolitique d’extrême droite. Qui fait Quoi a rencontré la directrice photo sur le plateau de tournage pour discuter de son approche sur ce projet.