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    Gamerizon et le développement de jeux « casual » : la clé de l’indépendance ?

    Gamerizon et le développement de jeux « casual » : la clé de l’indépendance ?

    19 février 2009, 09h05
         |      Article rédigé par Charles Prémont     

    Dominique Bélanger, Martin Lizée et Robert Lizée ont fondé Gamerizon, un nouveau studio montréalais qui a pignon sur la rue St-Laurent, pour être en mesure de développer leurs propres concepts. « Martin et Robert [Lizée] ont développé un studio qui s’appelait Digital Fiction qui faisait des jeux sur commande, explique Dominique Bélanger, président de Gamerizon. Lorsque l’on fait des jeux à forfait, l’éditeur est capable de décider de tout. On finit par avoir très peu de liberté créatrice, mais aussi de gestion. Si on décide de développer son propre concept, il faut être en mesure d’allonger entre sept et dix millions $. En investissant le marché du jeu pour tous (casual game), on est capable de financer nos idées. » Le Lien MULTIMÉDIA a été rencontrer Dominique Bélanger.

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