Le premier long métrage d’Albéric Aurtenèche (enfin) en salle le 16 octobre
Le scénariste et réalisateur Albéric Aurtenèche, avec son tout premier long métrage, « La contemplation du mystère », tire le constat générationnel de l’absence de mythologie contemporaine, l’absence de croyance et de spiritualité. Dans son film, ses personnages se tournent vers les drogues hallucinogènes pour recréer les mythes initiatiques qui manquent aujourd’hui. Du moins est-ce un de ses points de départ. Le rapport à la croyance se trouve intriqué à notre rapport à la mort et la meilleure façon de mettre en scène la mort dans la société passe par la chasse. « Mon film est un récit initiatique à tendance hallucinogène », résume-t-il en riant.