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    « Mondes oniriques », une troisième exposition du Centre Phi et de FoST Charles Melcher et Phoebe Greenberg. Photo: Sophie Bernard

    « Mondes oniriques », une troisième exposition du Centre Phi et de FoST

    25 juillet 2017, 07h31
         |      Article rédigé par Sophie Bernard     

    Le Centre Phi accueille « Mondes oniriques », le troisième volet de l’exposition immersive Sensory Stories, une collaboration de Phi et de Future of Story Telling (FoST). Les visiteurs peuvent y découvrir, jusqu’au 16 décembre prochain, une douzaine d’oeuvres qui les plongeront dans des espaces et des lieux oniriques. Le Lien MULTIMÉDIA a découvert quelques-uns de ces univers.

    « Mondes oniriques » présente, entre autres, la première américaine de « Vaysha l’aveugle », oeuvre en réalité virtuelle de Theorodre Ushev, produite par l’Office national du film. Dans cette version du film, l’usager peut vivre le regard de Vaysha, une jeune fille qui ne voit que le passé de l’oeil gauche et le futur de l’oeil droit. Cette version immersive ajoute une couche au court métrage d’animation qui s’était retrouvé dans la course aux Oscars en 2017. La particularité de ce troisième volet de Sensory Stories se trouve dans le fait que plusieurs expériences peuvent – et devraient – se vivre à plusieurs, éloignant de l’isolement que l’on connaît généralement dans la réalité virtuelle.

    D’autres oeuvres seront ajoutées d’ici décembre. « La différence de cette troisième édition se trouve dans le fait que les projets intègrent différentes technologies, note Charles Melcher, directeur de FoST. C’est un dénominateur commun de Sensory Stories. Certaines expériences sont encore expérimentales, dressant la voie à la prochaine génération de créateurs. » Dans « Riot », un prototype réalisé par l’artiste britannique Karen Palmer, en partenariat avec le National Theatre Immersive Storytellling Studio et Brunel University London, le visiteur est placé devant un écran sur lequel sont projetées des images d’une émeute. Un détecteur facial enregistre les mouvements du visage et les personnages du film réagiront à l’expression faciale et émotionnelle de l’usager. Si celui-ci s’agite, montre de la colère ou de la peur, les personnages réagiront en conséquence. Une personne qui reste calme devant les images (comme l’auteur de ces lignes) permet de calmer le jeu et d’éviter les affrontements entre forces de l’ordre et émeutiers.


    L’expérience en réalité virtuelle « Tree » transforme le visiteur en arbre de la forêt tropicale, une oeuvre de Milica Zec et Winslow Porter, de New Reality Company, en partenariat avec Here be Dragons et Droga5, alors que « Flock », de David Lobser, produit par Object Normal avec le soutien de NYU Media Reseach Lab, une expérience multi-usager et réalité virtuelle, fait entrer les visiteurs dans la peau (ou plutôt la tête) d’un oiseau. Dans ce jeu, l’oiseau qui mange le plus d’insectes gagne. Pour avoir essayé l’équipement composé d’un sac à dos, d’un casque virtuel et d’écouteur, puis pour avoir observé d’autres personnes faisant l’expérience, on peut vous dire que le fou rire est garanti, comme joueur et comme observateur.

    Autre expérience tentée par la journaliste du Lien MULTIMÉDIA, « Transference », un jeu produit par Ubisoft et SpectreVision, réalisé par l’acteur Elijah Wood et les cinéastes Daniel Noah and Josh C. Waller, plonge le joueur dans un thriller psychologique, le faisant voyager du passé au présent dans un labyrinthe où la vérité n’est pas ce qu’elle paraît être. Avec « The Island of Colorblind », une des expériences les plus poétiques présentées par le Centre Phi dans le cadre de « Mondes oniriques », les visiteurs sont placés dans une pièce, devant un dessin, avec des pinceaux et de la peinture à l’eau. Au son d’une voix racontant l’histoire de cette île mystérieuse où les couleurs se transforment, ils peignent le dessin selon leur envie en utilisant différentes couleurs. Le résultat s’avère surprenant, même pour la personne la moins artistique qui soit.

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