« Blood Quantum », se libérer des archétypes et embrasser le « fandom »
Dans « Blood Quantum », Jeff Barnaby filme le drame d’un clan familial en pleine crise apocalyptique, soit celle d’un virus qui contamine les corps pour les transformer en zombies. Excepté pour les Autochtones qui sont inexplicablement protégés par cette épidémie. Dans ce second long métrage, le réalisateur micmac met en scène plusieurs protagonistes se détachant des archétypes habituels associés aux personnages issus des Premières Nations. Même Lysol, interprété par Kiowa Gordon, n’est pas qu’un simple méchant de service. Mais qu’est-ce que ces représentations permettent de créer chez le public ?