Depuis plusieurs années, le prestigieux Bal du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) est un événement prisé et attendu. C’est avec un enthousiasme évident que le MBAM et sa Fondation dévoilent le retour en présentiel de cette incontournable soirée caritative après deux ans d’absence.
Lors de cet événement, les convives pourront d’abord visiter l’exposition À plein volume : Basquiat et la musique, qui s’annonce déjà spectaculaire, pour ensuite déguster un repas gastronomique dans les galeries toujours ornées des quatre murales époustouflantes de l’artiste suisse Nicolas Party, dont l’exposition « L’heure mauve » fait fureur au Musée ce printemps. L’événement très couru se déroulera le samedi 26 novembre 2022.
Le Bal constitue chaque année la plus grande activité de financement du Musée. Cette année, afin de respecter le degré de confort pandémique de tout un chacun et d’assurer la sécurité sanitaire de toutes et tous, seulement 650 convives pourront y assister (ils étaient près de 1 000 en 2019). Personnalités du milieu des affaires, artistes, mécènes et amoureux des arts sont invités à participer à la soirée pour soutenir leur institution.
Renseignements et achat de billets
Les places étant limitées pour cette édition spéciale du Bal, les personnes qui souhaitent être de la fête le 26 novembre prochain sont invitées à contacter Louis-Philippe Ouellette pour obtenir des renseignements supplémentaires. lpouelette@mbamtl.org ou 514-285-1600, poste 306
Le Bal au coeur de la mission du MBAM
Le Bal est un événement-bénéfice vital au maintien et au développement des activités du Musée. Le MBAM n’étant pas un musée d’État, mais un organisme à but non lucratif, il autofinance plusieurs de ses programmes à hauteur de près de 60 % de son budget de fonctionnement annuel*, notamment grâce à la contribution de sa Fondation. Les profits nets de la soirée, qui dépasseront encore cette année le seuil du million de dollars, contribueront entre autres à soutenir la mise en valeur de la collection, la présentation des grandes expositions ainsi que le développement de nombreux programmes éducatifs et de mieux-être.
* Données annuelles recueillies avant la pandémie