« Villes, collection particulière ».
Photo: Mathieu Doyon
Le Théâtre de la Pire Espèce donne la parole aux objets
Utilisant des concepts résolument low-tech, le Théâtre de la Pire Espèce revient à la charge avec la production « Villes, collection particulière ». Un acteur, une vieille caméra, un écran et des petits objets hétéroclites : il n’en faut pas plus pour que la magie s’installe et nous transporte dans l’univers de villes imaginaires.
