Fred Pellerin.
Photo: Courtoisie
Fred Pellerin présente « Plus tard qu’on pense »
Après trois ans de silence musical, Fred Pellerin revient présenter son nouvel album « Plus tard qu’on pense ». Des chansons sur le temps, celui qui presse, celui qui fait urgence, celui qui nous manque ou qui nous pousse, celui qui passe, celui qui reste. Le beau temps comme le mauvais, parfois sans même le nommer mais allant puiser de toutes ses déclinaisons.
Une route toute de platine qui a pavé la voix en chanson de Fred Pellerin jusqu’ici avec un disque platine pour son album précédent « C’est un monde » (2011) et double platine pour l’album « Silence » (2009). De ces deux opus, c’est près de 260 000 copies vendues. C’est dire que la poésie et le folk francophone est bien loin d’être en perdition. L’espoir vit encore et toujours par la bouche de Fred Pellerin.
Cette nouvelle aventure s’inscrit dans la continuité des histoires de cœur que Fred Pellerin cultive si bien. On y retrouve les incontournables frères de mots avec David Portelance, René Richard Cyr et Manu Trudel. Des détours de cordes sensibles dans les chansons de Gilles Vigneault, Stephen Faulkner jusqu’à Tom Waits. Cet album, c’est aussi l’occasion de mettre à jour la magnifique chanson de Léon et Jocelyn Bigras, « Gens du vieux rêve », qui rappelle ces grandes chansons qui ont donnée tant d’élan au Québec.
Fred Pellerin y a mis de sa couleur avec l’écriture de plusieurs pièces dont « C’est combien » et de sa folie dans « Le musée du jamais vu ».
Jeannot Bournival réalisateur, arrangeur et multi_instrumentiste (basse, saxophone, clarinette, vibraphone), complice de toujours, s’est encore une fois fait alchimiste pour assurer le subtil amalgame du verbe et des sonorités, avec le concours de musiciens inspirés comme Ligia Paquin, Antoine Bareil et Annie Gadbois (violon et violoncelle), Mathieu Désy (contrebasse), Daniel Lacoste (guitare, banjo, mandoline), Alexis Dumais (piano), Simon Blouin (batterie).
« Ça piaille, ça gazouille, ça roucoule, ça cancane, ça chante, ça veut, ça vit. Plus tard qu’on pense. Jamais trop tôt. » - Fred Pellerin
