L’abonnement à Qui fait Quoi comprend:

  • 250 numéros du Quotidien Qui fait QUoi
  • Mot de passe pour www.qfq.com
  • Revue Qui fait Quoi: 10 numéros par an
  • Revue Qui fait Quoi: Archives et hors série
  • 1 Guide annuel Qui fait Quoi
  • Accès au Guide de la production
  • 1 Guide QfQ COPRODUCTION
  • 1 Hors série Inclusion / Diversité

CONNEXION

  • Abonnement
  • Publicité
  • Contact
  • Guide annuel QfQ
  • Vidéos
  • Podcasts
  • Revue Qui fait Quoi
  • Boutique
  • Télévision
  • Cinéma
  • Scène • Théâtre
  • Musique
  • Animation • VFX
  • Communications
  • Industrie
  • COPRODUCTION
  • INCLUSION • DIVERSITé
  • DOCUMENTAIRES
  • TECHNOLOGIES
  • FORMATION • EMPLOIS
  • EXCLUSIFS
  • SUIVEZ-NOUS

    RSS

    RECEVEZ GRATUITEMENT
    LE QfQ en bref [voir un exemple]

    The Darkest Hour : un suspense électrique

    The Darkest Hour : un suspense électrique

    4 août 2012, 00h00
         |      Article rédigé par Grégory Haelterman     

    La dernière invasion extra-terrestre hollywoodienne prend place à Moscou et met en scène des créatures mortelles, mais invisibles. Dans The Darkest Hour, le réalisateur Chris Gorak tente une approche qui rafraîchit le genre, mais peine à convaincre sur la longueur.

    Sean et Ben sont deux golden boys américains en voyage dans la capitale russe afin de vendre une application mobile de leur cru. Leurs déboires commerciaux sont vite troublés par l’apparition d’étranges lueurs dans le ciel moscovite. Après une brève période d’émerveillement devant le phénomène, la foule assiste impuissante à la désintégration d’un policier imprudent. C’est bien une invasion extra-terrestre qui vient de débuter et le moindre contact avec les invisibles créatures est synonyme d’une mort immédiate. Une véritable course à la survie débute pour le petit groupe de survivants.

    Des effets spéciaux intéressants
    Les créatures électriques sont particulièrement réussies dans la première partie du film.

    Production russo-américaine, The Darkest Hour oscille entre le film d’horreur et le thriller de science-fiction. Chris Gorak se retrouve à la réalisation, après s’être surtout fait connaître comme directeur artistique sur des films aussi renommés que Minority Report, Fight Club ou encore Fear and Loathing in Las Vegas. Le film met en scène Emile Hirsch (Harvey Milk, Speed Racer, Into the Wild...), Max Minghella (Syriana, Agora, The Social Network...) et Olivia Thirlby (Juno, Sex Friends...). Tout comme les effets spéciaux créés par BUF et Soho VFX, le film parvient à convaincre dans un premier temps avant de peiner par la suite à conserver sa crédibilité. Les amateurs du genre devraient toutefois y trouver leur compte s’ils ne se font pas trop d’attentes.

    Sur le même sujet

    Intéressé.e à reproduire un article, une photo ou une vidéo ?

    En bénéficiant de notre licence de reproduction, vous pourrez :

    • publier un article dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • en modifier la longueur
    • recevoir les photos (et vidéos, si applicable) en haute résolution
    • publier les photos (et vidéos, si applicable) dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • le contenu devient public sur notre plateforme, ce qui vous octroie encore plus de visibilité

    Sous réserve que les droits sur les contenus que vous souhaitez reproduire (textes, photos ou vidéos) nous appartiennent.

    DERNIERS ARTICLES

    Exploration du Métavers : un exemple québécois

    Exploration du Métavers : un exemple québécois

    Suite
    1er mai 2024, 11h45
    Robbie Hart fait revivre la fièvre des Expos

    Robbie Hart fait revivre la fièvre des Expos

    Suite
    1er mai 2024, 06h00
    Le Groupe Gibault vend AMM Solutions numériques

    Le Groupe Gibault vend AMM Solutions numériques

    Suite
    1er mai 2024, 04h30