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    L’UdeS construit son Pavillon de santé de précision et de recherche translationnelle Pierre Cossette, Robin Marie Coleman, Denyse Rémillard, Geneviève Hébert, Jean-Pierre Perreault, Dominique Dorion. Photo: Mathieu Lanthier - UdeS

    L’UdeS construit son Pavillon de santé de précision et de recherche translationnelle

    9 mai 2022, 10h28
         |     

    Situé au coeur du Campus de la santé de l’Université de Sherbrooke, le tout nouveau bâtiment, évalué à 65,5 M$, sera érigé au cours des deux prochaines années. Ce pavillon sera un atout indéniable pour la recherche à l’Université de Sherbrooke.

    C’est en présence de la députée de Saint-François, Geneviève Hébert, du recteur de l’Université de Sherbrooke, le professeur Pierre Cossette, de la rectrice adjointe et vice-rectrice à l’administration et au développement durable, la professeure Denyse Rémillard, du doyen de la Faculté de médecine et des sciences de la santé, le professeur Dominique Dorion, et de la présidente-directrice générale adjointe du CIUSSS de l’Estrie – CHUS, Robin Marie Coleman, que la première pelletée de terre a été soulevée le 6 mai pour marquer le début des travaux de construction du Pavillon de santé de précision et de recherche translationnelle (PSPRT).

    « Nous lançons aujourd’hui les travaux de construction de ce pavillon pour lequel nous avons tant travaillé depuis plusieurs années avec la Faculté de médecine et des sciences de la santé. Ce pavillon permettra à l’Université de Sherbrooke de se démarquer en recherche, dans ses applications concrètes aux bénéfices des personnes, et de demeurer un chef de file en santé de précision au Québec. La vocation de ce nouveau bâtiment est de développer des approches personnalisées basées sur une recherche interdisciplinaire, dans la mise en place de soins et services visant le maintien en santé des personnes », explique le professeur Pierre Cossette, recteur de l’Université de Sherbrooke.

    « Nous avons conçu ce pavillon de manière à créer un milieu de vie et de travail facilitant où la communauté pourra travailler et apprendre mieux, ajoute la professeure Denyse Rémillard, rectrice adjointe et vice-rectrice à l’administration et au développement durable de l’UdeS. C’est notre plus gros chantier de construction. Il mettra à profit l’expertise de nos équipes de gestion de projet pour la création de ce bâtiment phare du Campus de la santé, tant par sa qualité de construction et ses fonctionnalités que par son esthétisme. »

    Le gouvernement du Québec investit 35,5 M$ pour ce projet, annoncé en 2018 : « J’ai le plaisir d’être parmi vous aujourd’hui pour représenter l’apport considérable de notre gouvernement à ce grand projet structurant pour le rayonnement de notre université. Ce jalon dans le développement de la recherche constitue une autre avancée dans la tradition d’innovation qui caractérise tellement l’Université de Sherbrooke. Ce complexe facultaire moderne fera la fierté de toute notre région », souligne Geneviève Hébert, députée de Saint-François et whip adjointe du gouvernement.

    « Une attention particulière sera portée au développement durable pour la construction de ce nouvel immeuble, et ce, conformément aux orientations gouvernementales et à la stratégie de développement durable de l’Université, mentionne également Denyse Rémillard. Ainsi, des mesures d’efficacité énergétique seront intégrées au projet avec des systèmes énergétiques performants, notamment des puits de géothermie, afin de réduire au minimum les émissions de GES de ce nouvel édifice. »

    « Le CIUSSS de l’Estrie – CHUS est fier de contribuer à ce projet prometteur en cédant le terrain où sera construit ce nouveau pavillon, sous forme de bail emphytéotique, a mentionné Mme Robin Marie Coleman, présidente-directrice générale adjointe du CIUSSS de l’Estrie – CHUS. Notre établissement croit fermement à l’immense potentiel de ces nouvelles installations et a donc tout mis en œuvre, au cours des dernières années, pour soutenir l’avancement de ce dossier, notamment auprès du ministère de la Santé et des Services sociaux. C’est grâce à la mise en commun de toutes ces énergies que ce projet se concrétise aujourd’hui. Cette collaboration marque un jalon important dans le partenariat de longue date qui unit notre établissement et l’Université de Sherbrooke en matière de recherche et d’enseignement. La mise en place du PSPRT contribuera de façon majeure au développement des trajectoires de soins et de services pour nos usagers ainsi que pour l’ensemble de la population du Québec et au-delà. Les travaux prometteurs qui y seront menés contribueront au positionnement déjà enviable de nos infrastructures de recherche sur la scène nationale et internationale. Nous pouvons être fiers de détenir toute cette expertise chez nous, en Estrie. »

    Le pavillon répondra au manque d’espace pour la recherche et les études supérieures au Campus de la santé et permettra l’expansion des activités de recherche de la Faculté de médecine et des sciences de la santé. Le complexe soutiendra aussi la mutation fondamentale que traverse actuellement la recherche en médecine de précision et en sciences de la santé : le virage numérique.

    Concept du PSPRT : se côtoyer pour mieux faire avancer les soins de santé

    En complémentarité avec les infrastructures existantes, le PSPRT favorisera le développement de la santé de précision et de la recherche translationnelle. En clair, il s’agit de la recherche qui va de la découverte fondamentale jusqu’aux changements dans les pratiques cliniques et de soins directs aux patientes et patients, et ce, avec l’aide de données numériques en santé.

    Ainsi regroupées dans un même pavillon, les équipes de recherche pourront mieux collaborer, tant dans l’optimisation d’outils d’aide à la décision clinique qui améliorent les trajectoires de soins de santé que dans l’accélération de nouvelles thérapies pour les maladies chroniques. C’est donc dans cette optique d’ouverture, d’échange et de partage qu’une quarantaine d’équipes de différentes disciplines cohabiteront dans des espaces communs et partagés pour favoriser l’émergence d’idées nouvelles en santé.

    Le numérique de la santé : une étape essentielle vers un système de santé apprenant

    Tout en accordant une place importante à la recherche fondamentale et expérimentale, le PSPRT soutiendra la recherche de chercheuses et de chercheurs dont les expertises en informatique de la santé, en intelligence artificielle, en science des données, en amélioration des pratiques cliniques et en organisations des services de santé s’uniront pour l’établissement d’un système de santé apprenant.

    Le PSPRT hébergera également la plateforme PREVALIS, la première plateforme de recherche, de valorisation, d’analyse et de liaison en informatique de la santé. Le PSPRT fera donc une place prépondérante à ces équipes, conformément aux orientations et priorités gouvernementales et universitaires en numérique de la santé.

    Dans les faits, la Faculté de médecine et des sciences de la santé et l’UdeS sont pionnières en informatique de la santé. En partenariat avec le CIUSSS de l’Estrie – CHUS, ses équipes de recherche travaillent notamment à l’élaboration d’une vaste base de données de recherche tirées du dossier informatisé de patients débutée au CHUS depuis plus de 25 ans, bien avant que cet outil devienne la norme.

    Grâce au projet scientifique du PSPRT, ces bases de données pourront être couplées à d’autres bases de données de recherche portant sur divers déterminants de la santé, tels que l’environnement, les habitudes de vie, les facteurs biologiques, socioéconomiques et démographiques, etc. La mise en commun de ces données sera hautement avantageuse pour ce domaine de pointe. Les équipes seront en mesure de faire de la recherche de façon différente en intégrant d’autres déterminants de la santé aux profils génétiques. Cette façon de faire permettra de proposer et d’explorer des hypothèses inédites.

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