«Sauver ou périr».
Photo: Image tirée du film
« Sauver ou périr », de Frédéric Tellier avec Pierre Niney, prendra l’affiche le 29 mars
Distribué par AZ Films, « Sauver ou périr », deuxième long métrage de Frédéric Tellier mettant en vedette Pierre Niney, Anaïs Demoustier aux côtés de Chloé Stefani, Vincent Rottiers et Sami Bouajila, sortira en salle au Québec le 29 mars.
Franck est sapeur-pompier de Paris. Il sauve des gens. Il vit dans la caserne avec sa femme qui accouche de jumelles. Il est heureux. Lors d’une intervention sur un incendie, il se sacrifie pour sauver ses hommes. À son réveil dans un centre de traitement des Grands Brûlés, il comprend que son visage a fondu dans les flammes. Il va devoir réapprendre à vivre et accepter d’être sauvé à son tour.
Selon Frédéric Tellier, « Sauver ou périr » est une histoire d’amour, mais plus largement, c’est une réflexion sur la quête de l’identité, la construction individuelle et le sens de la souffrance : y a-t-il un sens à la souffrance qu’on subit dans la vie ? La transforme-t-on en quelque chose d’autre ?
Frédéric Tellier débute au sein de l’industrie cinématographique dans les années 1990, comme assistant-réalisateur sur les films de José Pinheiro, Jean-Marie Périer, Arthur Elgort ou encore Élie Chouraqui. C’est à la télévision que Frédéric Tellier fait ses premières armes en tant que réalisateur. Il dirige notamment la saison 1 de la série « Un flic » (2006), puis plus tard celle « Des hommes de l’ombre » (2012), dans laquelle il dirige Nathalie Baye, Bruno Wolkowitch et Grégory Fitoussi. On lui doit également plusieurs téléfilms dont « Sauvage » (2003), « Obsession(s) » et « Les Robins des pauvres » (2011) qui reçoit prix de la meilleure photographie au Festival du film de télévision de Luchon.
En 2015, Frédéric Tellier écrit et réalise son premier long métrage : « L’affaire SK1 », qui retrace l’affaire Guy George, « le tueur de l’est parisien ». On retrouve au casting Raphaël Personnaz, Nathalie Baye, Olivier Gourmet, Michel Vuillermoz, Christa Theret et Thierry Neuvic. Un coup d’essai réussi puisque le film est récompensé, entre autres au Festival de Cognac (Meilleur film), au Festival du premier film francophone de « La Ciotat » (Prix du public) et Lauréat du Prix Jacques-Deray 2015 comme Meilleur film policier français. « L’affaire SK1 » est nommé à deux reprises aux César : Meilleure adaptation et Meilleur premier film.
« Sauver ou périr » est distribué par AZ Films et prendra l’affiche au Québec le 29 mars.
