Les projections Doc-à-doc, présentées par Télé-Québec sont de retour pour une deuxième année consécutive. Trois cinéastes dont le film sera projeté lors des RIDM 2023 ont été invité·e·s à programmer des documentaires ayant inspirés leur démarche de (...)
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Après avoir réalisé son premier long métrage avec « Coco Ferme », Sébastien Gagné poursuit sur sa lancée cinématographique avec un projet plus personnel qu’il scénarise, intitulé « Les gamins ». Celui qui a tracé sa marque en télévision (« Lâcher prise », « Le chalet », « Nuit blanche ») a été sélectionné (...)
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Pour la 5e année consécutive le Carrousel international film de Rimouski accueille dans le Bas-Saint-Laurent 4 scénaristes à participer à sa résidence de scénarisation pour des oeuvres audiovisuelles jeunesse.
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Cette année, la Lanterne Magique fait son grand retour en présentiel. Les 1er et 2 mars, le Carrousel International du Film de Rimouski invite jusqu’à 24 jeunes âgés de 6 à 17 ans, répartis en équipes de 4, à créer 6 courts métrages en animation image par image sur le thème L’espace : vers l’infini et (...)
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Créée en 2020, lors de la 38e édition du Carrousel international du film de Rimouski, la compétition Court d’École rassemble les meilleurs courts métrages réalisés par des étudiants en cinéma des établissements collégiaux des 4 coins de la province. C’est une façon pour pour le festival d’offrir une (...)
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En 2023, le Carrousel international du film de Rimouski célébrera avec fierté ses 40 ans d’existence comme festival spécialisé en cinéma pour enfants ! L’appel à films est lancé pour cette 40e édition.
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L’appel à film est maintenant ouvert pour la . Les organisateurs de l’événement recherchent des films jeunesse de tout genre et de toutes formes (long ou court métrage d’animation, de fiction, documentaire, série Web, etc.) s’adressant à un public de 4 à 16 ans. Les films peuvent provenir du Québec, (...)
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Le court métrage « Mon dernier été », réalisé par le cinéaste Claude Demers et produit par Bravo Charlie, a reçu trois prix dans trois différents festivals, notamment au Ficfa de Moncton, au Kuki Festival de Berlin ainsi qu’au 32nd short film interfilm de Berlin.
Depuis plusieurs années, Guillaume Lévesque, réalisateur originaire d’Amqui dans la Vallée-de-la-Matapédia, développe un projet de documentaire sur le chansonnier et folksinger Lawrence Lepage. Son film « Le silence de Lawrence », son premier long métrage d’auteur à la réalisation, est distribué par Vidéographe et devrait être lancé à la fin de l’année ou au début de 2017. Qui fait Quoi a discuté avec Guillaume Lévesque dans le cadre du Carrousel international de film, à Rimouski. Ce dernier qui oscille entre la réalisation et la prise de son professionnelle y donnait avec Simon Bellefleur la conférence intitulée « Réflexion critique sur le son ».
La société franC doc, fondée par Karina Soucy et Nicolas Paquet en 2003, ne jure que par le documentaire. Le duo de créateurs a choisi de baser son quartier général à Saint-Alexandre-de-Kamouraska dans le Bas-Saint-Laurent, certes pour la qualité de vie qu’il y trouve, mais surtout pour traiter des enjeux régionaux. « C’est un peu cliché, mais ça vient de notre désir de creuser des enjeux, de travailler sur des sujets à long terme. Nous accordons beaucoup de temps à la période de développement pour comprendre les enjeux du mieux que nous le pouvons », explique Nicolas Paquet en entrevue. Aperçu de cette boîte franchement documentaire, franchement engagée.
Adam Pajot Gendron et Viveka Melki fondaient ensemble la société de production Tortuga Films, située au Bic, il y aura dix ans en décembre prochain. La boîte oeuvre principalement dans le documentaire et le magazine télévisuel, notamment en collaboration avec la chaîne maCommunauté. Elle propose aussi des projets de fiction et du corporatif pour répondre aux besoins de la région. En dix ans, Tortuga a créé une cinquantaine de productions et les projets à venir ne manquent pas ! Qui fait Quoi a rencontré le producteur, réalisateur et scénariste Adam Pajot Gendron au Carrousel de Rimouski dont il est le président du conseil d’administration.
C’est ironiquement la carrière musicale de Michel Gondry qui a mené le cinéaste français au métier qu’il exerce aujourd’hui. En réalisant les vidéoclips du groupe rock duquel il faisait partie à l’époque, Oui Oui, le créateur a découvert sa passion première. « Un jour je me suis dit que comme batteur j’utilisais peut-être 20 % de mes capacités cérébrales. En devenant réalisateur, c’était peut-être plus 80 %, dit-il à la blague lors d’une classe de maître qu’il a donnée à Rimouski dans le cadre du Carrousel international du film. Ce qui veut dire qu’il reste encore 20 % qui ne servent à rien… »
Cinéaste indépendant, Thomy Laporte a commencé sa carrière dans le documentaire engagé et a appris le métier de façon autodidacte. Après quelques documentaires, dont « Nation Punk » réalisé avec un budget de 250 $ et qui s’immisçait dans un festival musical de contre-culture, et « Wo Wo Wo ou l’indomptable l’engage », voyage à travers l’imagerie du cinéaste Guy Leclerc victime d’un accident vasculaire cérébral, Thomy Laporte s’intéresse aujourd’hui à la fiction, notamment dans l’adaptation libre du roman « Asphalte et vodka » de Michel Vézina. Entretien avec un réalisateur du Bas-Saint-Laurent, rencontré dans le cadre du Carrousel international du film de Rimouski.
Depuis sa création en 2005, la Coopérative de solidarité Paradis, espace de travail, de création et de diffusion artistiques, est rapidement devenue le pôle culturel de Rimouski. Elle offre chaque année entre 250 et 300 activités ouvertes au public, que ce soit des lancements, des conférences, des matchs d’improvisation, des vernissages, des projections de films ou encore des présentations de pièces de théâtre. En visite à Rimouski dans le cadre du Carrousel international du film, Qui fait Quoi s’est entretenu avec Cybel Chagnon, directrice de la Coop Paradis, dans les bureaux de ce temple culturel.
Paraloeil, cinéma et centre de production, est un point central dans l’univers cinématographique de Rimouski et de tout le Bas-Saint-Laurent. L’organisme, qui compte aujourd’hui une soixantaine de membres, a vu le jour au début des années 2000 grâce à l’initiative de deux enseignants en cinéma, Françoise Dugré et Alain Dion. « Ils souhaitaient que les cinéphiles de la région aient davantage accès à la cinématographie québécoise. Ça a commencé comme ça dans le but d’inspirer les cinéastes de la région », raconte en entrevue Valérie Mongrain, actuellement directrice générale de Paraloeil.
Le film « L’amour » sera le troisième et dernier volet de la trilogie du réalisateur Marc Bisaillon portant sur la conscience coupable. Tout comme les deux premières parties du triptyque, « La lâcheté » et « La vérité », le long métrage est une production de Christine Falco de la société Les Films Camera Oscura. Qui fait Quoi a rencontré le duo au Carrousel international du film de Rimouski où il donnait une conférence sur la relation entre un producteur et un réalisateur.
La scénariste, productrice et réalisatrice Martine Asselin se consacre actuellement à un projet ambitieux qui lui tient tout particulièrement à coeur. Mère d’un enfant autiste, elle développe le documentaire immersif « Les pieds en haut » qui permettra au spectateur de se glisser dans la peau d’une personne autistique grâce à la réalité virtuelle (RV). Précisions sur ce projet technologique essentiel qu’elle venait présenter dans le Bas-Saint-Laurent lors d’un atelier dans le cadre du Carrousel international du film de Rimouski.
Dans le cadre du Carrousel international du film de Rimouski (CIFR), André Gulluni était invité à offrir deux conférences sur la scénarisation, l’une destinée aux jeunes professionnels et l’autre à ceux établis. Boulimique culturel, l’auteur se garde à l’affût des tendances en tentant de tout lire, tout écouter et tout voir. Que ce soit au grand écran comme sur l’incommensurable sphère d’Internet, André Gulluni a plusieurs projets derrière la cravate et à venir.
Le gala de clôture du festival, animé par Stéphanie Beaudoin et Marilie Bilodeau s’est déroulé le samedi 24 septembre au soir à la salle GeorgesBeaulieu du Cégep de Rimouski. Cette soirée, présentée par TC Média, a permis aux jurys de remettre les prix Carrousel.
Le Carrousel international du film de Rimouski (CIFR) est le plus vieux festival de cinéma jeunesse en Amérique du Nord. Sa 34e édition s’est entamée dans le plaisir en présentant le plus récent long métrage du cinéaste français Michel Gondry, « Microbe et Gasoil ». Le festival, qui accueille pour la première fois un volet professionnel, compte trois porte-parole cette année, soit les comédiens Marianne Verville, Léane Labrèche-Dor et Mickaël Gouin. Jusqu’au dimanche 25 septembre, plus de 100 films en provenance de 40 pays sont présentés aux Rimouskois et aux cinéphiles de la région, petits et grands.
Le 22 septembre prochain, l’équipe du Carrousel se déplace à Mont-Joli pour y présenter une partie de la programmation du festival. Projections intérieures et extérieures ainsi qu’activités sont offertes aux Mont-joliens grâce au soutien de la ville de Mont-Joli.