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    FIFA 2023 : Des cartes blanches qui enrichissent la programmation «Invisibles KaunaPawa» de Joel Haikali. Photo: Courtoisie

    FIFA 2023 : Des cartes blanches qui enrichissent la programmation

    8 mars 2023, 07h20
         |      Article rédigé par Sophie Bernard     

    Pour monter une programmation riche et variée, le Festival international de films sur l’art (FIFA) fait appel, depuis l’arrivée de son directeur général et artistique il y a cinq ans, Philippe U. del Drago, à des programmateurs invités pour ses diverses cartes blanches. Cette année, le festival poursuit la tradition et accueille l’Institut du monde arabe pour l’une des ces cartes blanches.

    « Il faut rappeler que le FIFA demeure le plus grand festival de films sur l’art au monde et cela vient avec des responsabilités, avance Philippe U. del Drago. Des festivals de cinéma, de documentaires, de courts métrages, il en existe beaucoup, mais il n’y a qu’un seul FIFA. Évidemment, il existe d’autres événements du genre ailleurs dans le monde, mais ils sont plus petits. Les films qui rentrent dans notre catalogue sont vus et remarqués ici et à l’international. Les autres festivals regardent ce qui se fait à Montréal et s’en inspirent. Nous donnons le la. » Le FIFA connaît une importante croissance depuis quelques années. Alors qu’il y a cinq ans, il proposait 26 films en compétition, il en offre cette année 49. Cela est né d’une réelle volonté des organisateurs qui voulaient ouvrir la programmation à des films provenant d’ailleurs que de l’Amérique du Nord et de l’Europe.

    Il fallait donc trouver un système pour enrichir la programmation en provenance du Moyen-Orient, d’Asie, d’Amérique latine, d’Afrique du Nord et subsaharienne. « Nous faisons appel à des gens qui connaissent le domaine, des programmateurs, des curateurs, des spécialistes qui ont une connaissance dans chacune de nos expertises et qui possèdent eux-mêmes un catalogue assez large, précise le directeur artistique du FIFA. L’année dernière, nous avions un partenariat avec le Musée du Louvre, d’autres années, nous avions fait appel à l’Opéra de Paris ou encore au MoMA. Cette année, nous avons choisi l’Institut du monde arabe. Ces cartes blanches permettent un dialogue à plusieurs niveaux, entre les institutions, moi et mon équipe. Notre dialogue va créer un autre dialogue entre les films, le public et les cinéastes. C’est super intéressant : chacun apprend de l’autre en partageant les façons de faire et les référents. »

    Pour la 41 édition du FIFA, une carte blanche sera offerte à l’Afrique subsaharienne, où il se passe des choses très intéressantes qu’on ne voit pas à Montréal, selon Philippe U. del Drago. « Nous sommes plus exposés aux artistes afrodescendants, aux artistes haïtiens de Montréal, à ceux des Caraïbes, mais moins aux artistes d’Afrique, note-t-il. Il existait donc un manque. Nous ne pouvons pas présenter chaque année tout le monde, sinon il faudrait organiser cinq FIFA. Nous offrons aussi une carte blanche autour d’artistes et de vidéastes marocains qui parlent beaucoup de territoire, de leur terre, d’écologie. »

    Le festival a également réalisé une collaboration avec le Festival international du film de Busan, l’un des plus importants festivals d’Asie. Une autre carte blanche sera accordée aux arts du cirque. « Il n’existe pas beaucoup de films sur le cirque, explique le directeur artistique. Nous voulions nous pencher sur cet aspect. On n’est pas du tout dans la captation cependant. Nous allons voir comment les cinéastes s’approprient le cirque, comment la caméra joue avec cet art, comme le cercle du cirque devient un rectangle à l’écran. » Le festival a aussi offert une carte blanche au cinéaste autochtone Stephane Nepton, à qui l’on doit, entre autres, le court métrage « L’innu du futur », qui se penchera particulièrement sur les questions identitaires.

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