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    Le Festival Quartiers Danses dévoile la programmation en salles de sa 20e édition

    5 juillet 2022, 00h05

    Pour sa 20e édition, le Festival Quartiers Danses (FQD) se tiendra du 7 au 18 septembre 2022 et fera, pour une 4e année consécutive, la part belle aux écritures chorégraphiques féminines en réunissant 30 femmes sur les 47 chorégraphes nationaux·ales et internationaux·ales invité·e·s.

    Le Festival Quartiers Danses dévoile la programmation en salles de sa 20e édition «La marée des saisons». Photo: Melika Dez

    La programmation du volet extérieur gratuit du festival sera dévoilée au courant du mois d’août mais déjà, voici les 20 spectacles en salles attendus durant le festival :

    Jeudi 8 septembre - Soirée d’ouverture
    Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts
    20h

    « La Pastorale » - Malandain Ballet Biarritz

    Le Malandain Ballet Biarritz présente « La Pastorale », la 6ième Symphonie de Ludwig van Beethoven. « La "Symphonie Pastorale", ou "Souvenir de la vie rustique", est plus une émotion exprimée qu’une peinture descriptive. » Traduisant l’amour ardent de ce compositeur pour la nature, cette œuvre met en scène 22 interprètes qui dansent l’innocence et la tranquillité de la Grèce antique. Empreinte de sérénité et entièrement idéaliste, « La Pastorale » invoque l’antiquité hellénique, un lieu de nostalgie et de perfection artistique, de la douleur d’un désir sans fin à la béatitude de la lumière originelle.
    Billets à 20$ pour les 20 ans du festival


    Vendredi 9 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    20h

    « Tempus Fugit » - Cie Toula Limnaios

    Dans « Tempus Fugit », la compagnie Toula Limnaios reste sur la piste du temps, vers la recherche du bonheur de l’Homme que Nietzsche voyait comme un état n’ayant ni passé ni futur. Sur scène, sept danseurs se déplacent continuellement en groupe, comme une unité fluide, où ils produisent l’effet d’une marée qui englobe tout. Une danse ronde comme un seul mouvement partagé révélant par moments l’individu.


    Samedi 10 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    19h

    « Reset » - Véronique Giasson

    C’est par des allers-retours incessants que le duo « Reset », interprété par Véronique Giasson et Laurent Le Gall, teste les limites physiques du corps tout en lui imposant une stricte exactitude des mouvements. Sur la musique de LACRYMOBOY (Aix-en-Provence, France), cette pièce met en lumière les possibilités infinies d’une trajectoire d’un point A à un point B. Chaque départ, plus complexe que le précédent, est bâti sur le chemin déjà parcouru, sur le passif vécu de ces deux corps qui recommencent leur périple, encore et toujours.

    « Nocturnes » - Malandain Ballet Biarritz

    Le Malandain Ballet Biarritz présente « Nocturnes », une interprétation de l’accablant chagrin que peut causer l’amour, au travers des danses funèbres de la fin du Moyen Âge. Sur « Les Nocturnes », 21 pièces composées par Frédéric Chopin entre 1827 et 1846, cette œuvre dépeint le passage du temps et la mort comme réunion fraternelle entre les individus de tous rangs, allant ainsi au-delà de l’association entre la vie et la mort. Par cette fresque d’une éternelle mélancolie, « Nocturnes » s’inspire du romantisme noir de Chopin, mais aussi des danses macabres du Moyen Âge.


    Samedi 10 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    21h

    « Reset » - Véronique Giasson

    « Mozart à deux » - Malandain Ballet Biarritz

    Extrait du spectacle « Bal Solitude », faisant d’ailleurs partie du répertoire du Leipzig Ballet (Allemagne) et du Wiener Staatsballett (Autriche), le Malandain Ballet Biarritz présente le pas de deux « Mozart à 2 ». Dans le contexte d’un bal, de ses festivités et de ses aventures amoureuses, ce duo révèle la solitude vécue lorsque l’amour ne rime pas avec célébration. « Mozart à 2 » est la mise en scène du sentiment de manque lorsque la réciprocité amoureuse n’est pas au rendez-vous, le tout dansé sur des concertos pour piano de Mozart.


    Dimanche 11 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    16h

    « Untitled I + III » - Andrea Peña

    « Untitled I + III » explore la vulnérabilité humaine comme une force de résilience. Le corps et l’individu s’abandonnent et se transforment à travers la répétition chorégraphique. Les interprètes, dénudés et dépouillés comme la scène qu’ils habitent, s’engagent avec vigueur dans des phases de mouvement en constante évolution. Par la vulnérabilité vers laquelle trois hommes s’abandonnent, l’œuvre va au-delà de la performance pour dévoiler une transformation progressive de la résilience, autant pour le public que pour les interprètes. « Untitled I + III » est une libération de l’espace et du temps mettant de l’avant l’expérience et une humanité entretenue avec soin.


    Lundi 12 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    20h

    « Volto Umano » - Cie Toula Limnaios

    « Volto Umano », par l’infiltration de la violence dans la micro-société des interprètes, révèle la faiblesse et l’instabilité de la nature humaine. La pièce oscille entre les « petits méfaits » de la société, faisant émerger l’impitoyable. Elle incarne à quel point la couverture de la civilisation est mince lorsque l’éthique et la morale sont victimes de la barbarie. Révélant l’orgueil de l’être humain, tout peut se renverser d’un instant à l’autre et basculer dans la calamité. Quand la violence s’immisce dans nos vies, quel visage en sortira ?


    Mardi 13 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    20h

    « Geysers » - Samuel Tétreault / Les 7 Doigts de la main

    Cette pièce pour un danseur-équilibriste explore, au-delà de la virtuosité acrobatique, une démarche introspective et une réflexion sur la nature même de la notion d’équilibre. Dans un huis clos imaginaire au cœur du fouillis de notre inconscient individuel et collectif, ce solo questionne nos besoins de contrôle et de stabilité et nos désirs d’abandon et de liberté.

    « Odalisca » - Louise Bédard

    Le solo « Odalisca » est inspiré par les poses langoureuses de femmes peintes par Ingres et Delacroix. La chorégraphie cherche à révéler la sensualité qui se dégage du corps masculin dansant. Elle se déploie sur une musique de John Cage, Eight Whiskus, dont une version remixée par Sutja Guitterez avec la voix de Joan La Barbara, et une autre confiée au violon avec Aisha Orazbayeva. L’ensemble de la chorégraphie est constitué de multiples couches visuelles et musicales et convoque des sensibilités impulsives.

    « SOLILOQUY » - Charles Brecard

    Le soliloque est un discours pour soi, celui d’une personne qui se parle à voix haute. Dans « SOLILOQUY », l’interprète voyage à travers les méandres de ses pensées, se poussant à faire face à ses émotions, ses questionnements et ses angoisses. L’accompagnant dans son introspection, un squelette symbolisant les vestiges de l’humanité partage la scène. Une puissante valse entre l’homme et la carcasse s’ensuit, enchaînant confessions, accusations et partage. Le solo agit comme une déclaration et un voyage face à nos pertes, nos regrets, nos colères et nos déflagrations.

    Mercredi 14 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    20h

    « L’enfer d’un monde » - Nicolas Zemmour

    « L’enfer d’un monde » est une œuvre chorégraphique qui se veut empreinte d’humanité́. S’inspirant des violences conjugales, qui se sont accrues avec le confinement au début de la pandémie, la création explore les profondeurs de la violence humaine et l’espoir de la renaissance avec le dépassement pour s’en sortir.

    « The Smile Club » - Kyra Jean Green

    La chorégraphie, le scénario et le film à venir « The Smile Club » s’inspirent de pratiques psychiatriques présumées à Budapest, en Hongrie, pendant la Grande Dépression. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la ville a acquis la réputation d’être la « ville des suicides ». Une école a été ouverte avec un objectif simple : apprendre à la population à sourire, l’idée étant que cela déclencherait une plus grande production de sérotonine et permettrait de guérir une ville appauvrie, collectivement traumatisée par la guerre, de l’envie généralisée de mettre fin à ses jours.

    « Forgotten Feelings » - Kyra Jean Green

    Cette œuvre de Kyra Jean Green explore ce que peut être l’oubli des émotions et des sensations physiques. Le personnage principal souffre d’une combinaison d’alexithymie, l’incapacité à identifier et décrire les émotions ressenties par soi-même, et l’anaphie, l’incapacité de ressentir le toucher. . Elle se retrouve ainsi dans un monde où tout est engourdi. La soliste se remémore ce qu’était toucher et éprouver des émotions, mais sa mémoire lui fait défaut. Cette performance intime est un regard sur le monde privé d’un individu qui veut désespérément ressentir à nouveau.


    Jeudi 15 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    20h

    « La marée des saisons » - Margie Gillis

    « Nous sommes tous Nature. » – Margie Gillis

    Dans cette nouvelle oeuvre, vive et malicieuse à la fois, mais aussi toute en légèreté, la chorégraphe Margie Gillis rend hommage à la nature. Un cri du cœur pour son Québec natal où chaque saison se déploie avec fougue, toutes plus éclatantes les unes que les autres. Si la Belle-Province résonne dans cette oeuvre, c’est également à Hawaii que la chorégraphe a puisé son inspiration.


    Vendredi 16 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    20h

    « Bunker + Vault » - Rebecca Margolick

    « Bunker + Vault » se penche sur la résilience, sur la force et sur la pression incessante exercée sur le corps féminin au fil des générations, mais aussi sur l’expérience de la chorégraphe en la matière. Cette pièce s’inspire des recherches d’archives, effectuées par Rebecca Margolick, sur les femmes résidant au foyer Clara de Hirsch pour jeunes filles ouvrières de 1899 à 1950 à New York.

    « Souffle » - Jane Mappin

    2022, des réflexions sur un monde en mutation ; une célébration de la force et de la résilience de l’humanité, et du pouvoir de l’espoir.


    Vendredi 16 septembre
    Salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal
    20h

    « Focus danse Bach » - Focus Cia de Dança

    « Focus danse Bach » est une ode au merveilleux Jean-Sébastien Bach, l’un des compositeurs classiques les plus connus dans le monde. Musiciens et danseurs se partagent la scène, autour de trois pièces distinctes. In-finito joue avec le chiffre 8, symbole de l’infini, un mouvement qui ne finit jamais. Avec Prólogo 1, 2,3,4/ Interpret sur les cinq mouvements de la Partita pour violon seul nº 2, tous les danseurs envahissent la scène créant un sentiment d’accumulation tout en ouvrant de nouveaux espaces. Et finalement Um a um propose une séquence de duos connectés, qui dévoile tout le potentiel de combinaisons possibles à réaliser avec deux corps.


    Samedi 17 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder - Soirée de clôture
    20h

    « Carlota » - Focus Cia de Dança

    Dans cette création, en s’inspirant du tango, Alex Neoral se questionne sur la façon dont nous transformons notre tristesse en passion, voire en sensualité. « Carlota » est l’expression de nos émotions en mouvement. Explorant l’aspect inexplicable, intrinsèque et dissimulé de l’humain, cette création se penche sur l’évolution de nos humeurs à travers le fil du temps et des saisons. Bonheur, tristesse, angoisse et passion ... le tout en mouvement.


    Dimanche 18 septembre
    Studio-théâtre des Grands Ballets canadiens / Édifice Wilder
    14h

    « I know you but I don’t know you » - Cai Glover

    « I know you but I don’t know you » est la représentation du témoin d’une relation distante entre deux frères et sœurs qui, à cause de la distance, de l’espace et de la solitude, ont vu leur relation exacerbée par la façon dont la vie peut nous entraîner involontairement dans des directions que nous n’avons pas choisies. Le témoin, troisième danseur, joue le rôle de l’existence partagée de la vie. Le chorégraphe travaille avec l’ASL (American Sign Language) pour développer et découvrir la complexité émotionnelle du vocabulaire de la danse. En tant que chorégraphe malentendant, il s’intéresse à provoquer une expression qui, comme la danse, recherche le langage pur. Par l’utilisation de mots et de textes littéraux, Cai Glover désire s’élever au-delà de ceux-ci, présentant ainsi une chorégraphie expressive, rapide et chargée en émotions.

    « MMXX » - Pauline Gervais

    Dans une dimension altérée par la technologie, quatre protagonistes s’évertuent à développer de nouveaux repères. Ensemble ils.elles tentent d’établir une connexion de leur propre matrice à celle de l’autre en quête d’une identité partagée. Jadis femmes et hommes, ces individus cohabitent maintenant en tant que peuple sur ce territoire aux frontières virtuelles.

    « Dirt » - Elon Höglund

    Elon Höglund part de l’idée que nous somme né.e.s de la terre et que nous y retournerons. Cette œuvre est une enquête sur les cycles de la vie et de la mort.

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