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    La Centrale galerie Powerhouse expose « Dot by dot like a baby gazelle » «Dot by dot like a baby gazelle». Photo: Courtoisie

    La Centrale galerie Powerhouse expose « Dot by dot like a baby gazelle »

    25 février 2022, 00h05
         |     

    La Centrale galerie Powerhouse programme l’exposition « Dot by dot like a baby gazelle » du 3 mars au 7 avril 2022. Cette exposition, commissariée par Mitra Fakhrashrafi, présente le travail de Mélika Hashemi, Shirin Fahimi avec Morehshin Allahyari, Iman Lahroussi et Nazlie Nazgol.

    La Centrale galerie Powerhouse accueillera plusieurs activités en lien avec l’exposition : l’événement « De Mia Khalifa à Bousbir » avec Nashwa Lina Khan, une conversation avec Shirin Fahimi, le lancement d’un filtre de réalité augmentée avec l’artiste Mélika Hashemi et un finissage*.

    Dans « Ain El Karma », une chanson écrite et interprétée au début des années 1900, le poète et chanteur Aissa Djarmouni relie l’acte de tatouage à la terre d’Afrique du Nord dont il parle, décrivant la perforation de la peau, « point par point comme un bébé gazelle broutant dans la plaine de la rivière des Oliviers ». La popularité durable de ce texte fait le lien entre la pratique autrefois courante du tatouage et le présent, ravivant une tradition qui, en raison de la criminalisation de la vie nomade et de la stigmatisation croissante, est de moins en moins pratiquée dans la région.

    « Dot by dot like a baby gazelle » s’appuie sur les cultures de tatouage de l’Iran et du Maghreb comme point d’entrée pour explorer la construction de la nation, le genre, la diaspora et le futur - en particulier des futurs autres impliquant le rejet des binarités, des histoires immuables et de l’effacement culturel. Les artistes Shirin Fahimi et Morehshin Allahyari, Mélika Hashemi, Iman Lahroussi et Nazlie Nazgol utilisent la performance, la géomancie, le film, l’installation et l’archivage pour explorer le corps en tant qu’espace de narration qui capture ce qui change au fil du temps, ce qui perdure, et les nombreuses transformations effectuées au cours de ces processus. Évoquant le « traditionnel » et le réimaginé, l’exposition présente des archives ouvertes,
    documentant le tatouage et d’autres pratiques souvent reléguées d’Iran, du Maghreb et de leurs diasporas, tout en invitant les spectateurs à prendre part à ces traditions vivantes.

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