Leif Vollebekk partage un nouveau vidéoclip réalisé par Tracy Maurice pour la chanson « Never Be Back », tirée de son plus récent album, « New Ways ». La pièce est une documentation sonore de tout ce que Leif ressentait : la tendresse et la violence, le sexe et la renaissance.
« Je crois que je n’aurais jamais écrit une telle chanson sans tous ces longs trajets en voiture passés à écouter Nebraska ou Ghost of Tom Joad, raconte Leif. Vous savez, toutes ces chansons de Springsteen où on comprend que le personnage souffre et on ne pense pas qu’il va surmonter cette épreuve. Mais ensuite, il dit quelque chose d’étonnant. Ça nous prend au dépourvu et ça nous fait nous dire, eh bien, peut-être qu’il va s’en tirer. Il maintient toujours ce délicat équilibre. »
La réalisatrice Tracy Maurice partage son processus créatif : « Le vidéoclip de "Never Be Back" explore la nature fluctuante et éphémère de l’intimité en juxtaposant une performance avec des nébuleuses, des tourbillons cosmiques et des nuages à la dérive, créés en projetant du liquide sur du verre. Cette technique analogique reflète la beauté des moments inattendus qui peuvent survenir lorsqu’on se permet de lâcher prise. Les prises de vue réelles du vidéoclip ont été tournées à l’emblématique Cinéma L’Amour sur le boulevard Saint-Laurent à Montréal. »
« New Ways » est une documentation sonore de tout ce que Leif ressentait : la tendresse et la violence, le sexe et la renaissance. « Tout ce que je ne dirais jamais à personne — je l’ai juste mis sur le disque, confie-t-il. L’album a été enregistré aux Capitol Studios de Los Angeles et au Studio Breakglass de Montréal, et on peut y entendre Olivier Fairfield (Timber Timbre) et Homer Steinweiss (The Dap-Kings, Amy Winehouse, Mark Ronson) à la batterie, ainsi que Angie McMahon aux chœurs. L’album a été mixé par Chris Allen à New York (Yoko Ono, Fleet Foxes, Sigur Rós, Margaret Glaspy) et le matriçage a été effectué par Greg Calbi chez Sterling Sound (David Byrne, The War On Drugs, Gregory Alan Isakov, Tame Impala, Father John Misty, Bob Dylan, Patrick Watson). » L’album cumule à ce jour plus de 11 millions d’écoutes en continu, il a reçu du soutien de Pitchfork, Uncut, NPR/World Cafe et The New York Times, et il s’est taillé une place sur la longue liste du Prix de musique Polaris 2020.
Depuis que la pandémie a frappé le printemps dernier, Leif a lancé deux courts EP de deux chansons à travers le monde. En janvier dernier, c’était « Long Blue Light », une toute nouvelle chanson originale, qui cumule 5 millions d’écoutes en continu à ce jour, ainsi qu’une reprise de la pièce 29 #Stafford APTS de Bon Iver. En 2020, Leif a partagé « Rest », une parution qui reflétait sa discrète introspection durant cette période étrange et qui incluait une version acoustique et une inédite de son album de 2017, « Twin Solitude », un album qui a propulsé Leif à un niveau supérieur, se retrouvant sur la courte liste du Prix de musique Polaris en 2017, recevant une nomination pour un prix Juno et cumulant à ce jour 40 millionsd’écoutes en continu. Le disque a été encensé par les critiques de Uncut, NPR Music, The Fader, The Sunday Times Culture, The Line of Best Fit, Paste, Brooklyn Vegan, WXPN, KCRW et Exclaim !, pour n’en nommer que quelques-uns.