Avec « Donc Socrate est mort », Alexandre Isabelle veut soulever plusieurs questionnements
Dans « Donc, Socrate est mortel », Louise, une professeure de philosophie au cégep, est rattrapée par des gestes posés pour contrer un projet d’oléoduc. Cette prémisse de court métrage est directement inspirée du parcours d’enseignant du cinéaste Alexandre Isabelle et de plusieurs années de réflexions à camper ce rôle. « J’enseigne depuis 12 ans et j’ai vraiment vu évoluer la profession rapidement. Je sens un resserrement de par l’immensité des défis qui s’adressent à nous en tant qu’humanité », confie le réalisateur et producteur en entrevue à l’occasion de la présentation de son film au Aspen Shortfest.