Du documentaire à la fiction, Sarra El Abed impose sa marque
24 novembre 2020, 07h25
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Article rédigé par
Frédéric Bouchard
Sarra El Abed avait depuis quelque temps l’envie de réaliser un film sur la situation politique en Tunisie, particulièrement sur les enjeux entourant les conditions des femmes. En parallèle, elle souhaitait dédier une oeuvre à sa grand-mère, Saïda, propriétaire d’un salon de coiffure à Tunis. Elle s’est rapidement rendue à l’évidence : les deux idées allaient converger vers un seul court métrage pouvant évoquer tous ces éléments, « Y’a pas d’heure pour les femmes », présenté aux 23es Rencontres internationales du documentaire de Montréal.
Saraa El Abed.
Photo: Courtoisie