Anaïs Barbeau-Lavalette immortalise le déluge intérieur de « La déesse des mouches à feu »
À la toute fin de « La déesse des mouches à feu », lorsque le générique se met à défiler, tous les noms de l’équipe explosent autour de la mention « Un film de ». C’est qu’avec cette adaptation du roman éponyme de Geneviève Pettersen, quelque chose de très spécial s’est produit sur le tournage. Bien que cette observation soit souvent notée, Anaïs Barbeau-Lavalette a vécu pour la toute première fois une véritable cohésion avec tous ses collègues. Elle a alors senti qu’elle devait ce long métrage produit par la Coop Vidéo de Montréal et scénarisé par Catherine Léger tant à son actrice principale qu’à son chauffeur et à la cantinière.