Elza Kephart.
Photo: Frédéric Bouchard
Elza Kephart continue de développer un cinéma de genre québécois
Avec « Slaxx », Elza Kephart emprunte au genre du slasher pour émettre un grinçant commentaire sur la mode rapide (fast fashion), une industrie qu’elle considère extrêmement nocive pour la planète. À partir d’un scénario coécrit avec Patricia Gomez Zlatar, qui coproduit également le long métrage aux côtés d’Anne-Marie Gélinas d’EMAFilms, la cinéaste a insufflé une dimension sociale à son film d’horreur, genre qui commence à faire de plus en plus sa place au Québec.