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    Le Théâtre de l’Opsis organise le « Cycle des territoires féminins » entre le 25 mars et le 23 avril  2020 «Cycle des territoires féminins». Photo: Théâtre de l’Opsis

    Le Théâtre de l’Opsis organise le « Cycle des territoires féminins » entre le 25 mars et le 23 avril 2020

    2 mars 2020, 00h00
         |     

    Menée par le vif désir de contribuer à l’effervescence d’une « memoria féminine », Luce Pelletier, directrice générale et artistique du Théâtre de l’Opsis, convie le grand public à la présentation de cinq lectures de textes de femmes dramaturges de territorialités diverses, auxquelles participeront une trentaine de comédiennes et comédiens, entre le 25 mars et le 23 avril 2020.

    C’est dans le cadre de son « Cycle des territoires féminins », amorcé à l’automne dernier à Espace Go avec « Les serpents » de Marie Ndiaye, que Luce Pelletier vous convie à prendre part à ces lectures. Elles mettront à l’honneur la plume, l’audace, la sensibilité ainsi que les univers captivants des autrices prolifiques et talentueuses que sont la Russe Ludmila Oulistkaïa, l’Israélienne Maya Arad-Yasur, la Française Magali Mougel, la Franco-malienne-ivoirienne Eva Doumbia et la Catalane Lluïsa Cunillé. Leurs textes seront mis en scène par les Québécoises Marie Charlebois, Isabelle Leblanc, Dominique Leduc et Luce Pelletier ainsi que par Odile Sankara, originaire du Burkina Faso. Celle-ci sera exceptionnellement présente à Montréal pour la mise en lecture de « Iench » d’Eva Doumba, en plus d’offrir une classe de maître à de jeunes artistes de la relève.

    Comédienne de renom, metteuse en scène et formatrice, Odile Sankara crée des spectacles d’auteurs et d’autrices de son pays en plus d’initier les artistes de la relève à l’art théâtral. Soeur cadette de Thomas Sankara, ancien président du Burkina Faso qui fut assassiné lors d’un coup d’État en 1987, elle milite pour la libération de l’Afrique en passant par l’art afin de continuer la révolution de son frère qu’on appelle le Che africain.

    Depuis 1984, le Théâtre de l’Opsis porte un regard neuf sur les textes classiques et fait découvrir aux spectateurs québécois des textes d’auteur.e.s contemporains.es étrangers.ères qui portent une véritable réflexion sur la vie et sur l’art. Afin d’approfondir sa recherche dramaturgique, la directrice Luce Pelletier a mis en place des cycles artistiques d’une durée de quatre ans, dont les cycles Tchékhov, Oreste, états-uniens, italien et scandinave.

    Dans une ambiance intimiste et conviviale, plongez dans le « Cycle des territoires féminins » et prenez part à l’expérience chaleureuse des lectures publiques. Des rencontres gratuites à ne pas manquer, en collaboration avec la Maison de la culture du Plateau Mont-Royal et la Maison de la culture Rosemont—La Petite-Patrie, les 25 mars, 7, 15, 22 et 23 avril 2020.

    « Confiture russe » de Ludmila Oulistkaïa

    • Mercredi 25 mars 19h30
    • Maison de la Culture Plateau Mont-Royal
    • Traduction : Sophie Benech
    • Mise en lecture : Luce Pelletier
    • Avec Larissa Corriveau, Annette Garant, Martin Héroux, Yves Jacques, Dominique Pétin, Francis-William Rhéaume, Laurianne St-Aubin, Léonie St-Onge, Olivier Turcotte et Marion Van Bogaert Nolasco
    • « Confiture russe » est une comédie parodique qui puise ses ingrédients à même les classiques tchekhovien « La Cerisaie » et « Les Trois soeurs ». Andreï et Natalia ont hérité de leur père la datcha familiale, aujourd’hui pourrie et sur le point de tomber en ruine. L’argent, dorénavant au coeur des valeurs russes encore plus que le travail, transformera le goût cette confiture en quelque chose de bien amer…

    « Amsterdam » de Maya Arad-Yasur

    • Mercredi 7 avril 19h30
    • Maison de la culture Rosemont-La Petite-Patrie
    • Traduction : Laurence Sendrowicz (Pièce traduite avec le soutien de la Maison Antoine Vitez, Centre international de la traduction théâtrale à Paris)
    • Mise en lecture : Isabelle Leblanc
    • Avec Justine Bouchard, Vincent Kim et Tatiana Zinga Botao
    • « Amsterdam », une femme juive-israélienne reçoit une facture de gaz exorbitante adressée à l’ancienne propriétaire. Confrontée au sombre passé de la Hollande pendant la Seconde Guerre mondiale, elle tentera de comprendre pourquoi cette facture lui revient. Il s’agit d’une œuvre unique dont la narration, chorale, est au centre de cette quête qui se construit de spéculation en spéculation, les acteurs passant constamment de témoins de l’histoire à protagonistes.

    « Suzy Storck » de Magali Mougel

    • Mercredi 15 avril 19h30
    • Maison de la Culture Plateau Mont-Royal
    • Mise en lecture : Dominique Leduc
    • Avec Christophe Baril, Marie Bernier, Annick Bergeron, Tania Kontoyanni et Renaud Lacelle-Bourdon
    • « Suzy Storck » est une femme à la vie ordinaire. Maison, mari, enfants. Un soir d’été, la banalité dérape et force Suzy à revisiter son passé et à prendre conscience de son incapacité à vivre selon ses propres désirs. À travers une chronologie déconstruite et la présence d’un chœur, cette œuvre saisissante reconstitue le destin tragique d’une femme ordinaire.

    « Le iench » d’Eva Doumbia

    • Mercredi 22 avril 19h30
    • Maison de la Culture Plateau Mont-Royal
    • Mise en lecture d’Odile Sankara
    • Avec Irdens Exantus, Emmanuel Hyppolite, Fayolle Jean Jr, Schelby Jean-Baptiste, Renée Joseph, Dominique Leduc, Fabrice Sénat et François Trudel
    • Cette pièce raconte l’histoire de Drissa Diarra, un garçon noir, qui rêve sa famille à l’image des publicités parfaites : les voitures dans le garage, le repas du dimanche et le chien. Surtout le chien. Alors que tout pourrait couler comme le fleuve parfois houleux des existences de minorités, Drissa, têtu, veut abattre les obstacles à la banalité pour les garçons noirs…

    « Massacre » de Lluïsa Cunillé

    • Jeudi 23 avril 19h30
    • Maison de la Culture Rosemont-La Petite-Patrie
    • Traduction : Laurent Gallardo (Pièce traduite avec le soutien de la Maison Antoine Vitez, Centre international de la traduction théâtrale à Paris)
    • Mise en lecture : Marie Charlebois
    • Avec Isabelle Miquelon, Madeleine Péloquin et David Strasbourg
    • « Massacre » met en scène deux femmes que tout oppose et qui se voient contraintes de cohabiter dans un hôtel coupé du monde pendant une semaine. Toutes deux sont à un tournant crucial de leur vie. Ce huis clos mènera le spectateur au coeur de l’étrangeté et du suspens lorsqu’un automobiliste accidenté viendra troubler la passivité apparente de l’hôtel et de ses deux seules pensionnaires.

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