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    Marie Brassard précise la forme de « Violence » au Japon Marie Brassard. Photo: Frédéric Bouchard

    Marie Brassard précise la forme de « Violence » au Japon

    31 janvier 2020, 07h25
         |      Article rédigé par Frédéric Bouchard     

    Dans le désir de poursuivre le vocabulaire déployé avec « Introduction à la violence », Marie Brassard prépare actuellement « Violence », un nouveau projet qu’elle présentera lors de la 14e édition du Festival TransAmériques du 30 mai au 2 juin. Avec comme point de départ une phrase prononcée par sa nièce alors âgée de deux ans et demi, la créatrice élabore un spectacle à la forme qui doit encore être précisée, où elle pourra toutefois compter sur de fidèles collaborateurs et un partenariat avec des artistes japonaises. Nous avons discuté avec l’artiste multidisciplinaire.

    « On dirait une petite fleur japonaise qui n’est pas encore née », voilà la phrase prononcée par la nièce de Marie Brassard alors qu’elles regardaient le ciel sur une des images d’un livre rapporté du Japon et qui a bouleversé la metteure en scène. C’est ce qui l’a amenée à réfléchir sur la violence insidieuse commise sur les tout petits alors qu’ils se font constamment dire qu’ils ne sont pas des êtres humains adéquats.

    « Moi j’ai voulu, au contraire, honorer cette phrase si belle et créer un très grand spectacle pour souligner l’intelligence et la pensée d’une enfant », indique-t-elle.

    Et comme sa nièce faisait référence à une petite fleur japonaise, la créatrice a choisi de se tourner vers le Japon pour concrétiser l’idée esquissée par sa cadette. Elle s’est entourée de la danseuse et chorégraphe Miwa Okuno et de l’actrice Eriko Hatsune. Les deux avaient participé à la version japonaise de « La fureur de ce que je pense », conçue par la metteure en scène et présentée à Tokyo en novembre 2017. Se joindront à elles la comédienne Kyoko Takenaka et la jeune cinéaste Yokna Hasegawa.

    « Pour mon travail, je ne fais jamais d’audition. Soit, ce sont des rencontres, soit je vois quelqu’un et c’est comme une sorte de coup de foudre », révèle-t-elle.

    Outre ces quatre artistes, Marie Brassard refait équipe avec plusieurs fidèles collaborateurs dont Antonin Sorel à la scénographie, Alexander MacSween à la musique, la réalisatrice Sabrina Ratté, Mikko Hynninen et Andrew de Freitas qui agit à titre de directeur de production.

    Projet réalisé notamment grâce à la contribution du Fonds national de création, « Violence » voit la metteure en scène vouloir proposer un projet à la hauteur du soutien qu’elle a obtenu.

    Pendant un mois, la comédienne et artiste compte s’envoler vers le Japon afin de créer un environnement immersif avec ses collègues. Elle espère découvrir la forme que prendra son projet en s’inspirant du parcours de ces créatrices japonaises, mais en puisant également dans un certain folklore.

    « Il est question du désir de mort qui était déjà là dans "Introduction à la violence" et autour de l’idée de cesser de vivre qui sera très présente. J’ai aussi comme source d’inspiration les femmes que nous appelons les ama. Depuis longtemps, c’est une tradition dans certains villages côtiers du Japon. Ce sont des femmes qui, jusqu’à un âge très avancé, vont plonger en apnée très profondément pour aller chercher des coquillages, des oursins. Elles pêchent de cette manière », précise-t-elle.

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