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    Boskorgï dévoile son premier opus : « Jazz Pranksters » Thomas B. Martin et Antoine Bordeleau. Photo: Courtoisie

    Boskorgï dévoile son premier opus : « Jazz Pranksters »

    1er décembre 2019, 21h18
         |     

    Le duo montréalais Boskorgï présente un tout premier opus, « Jazz Pranksters ». Après 2 ans de travail, Thomas B. Martin et Antoine Bordeleau livrent un disque aux influences multiples, tissé dans une trame inspirée par la locution « Croche, mais croche égal ». Si les sonorités de la LA Beat Scene teintent toujours l’oeuvre des deux comparses, elles sont cette fois-ci rejointes par des saveurs de city pop japonaise, de jazz fusion, de RnB et d’autres plus expérimentales. L’ensemble est tranquille, mais jamais plate et avec un sourire en coin.

    Entièrement enregistré et mixé dans le studio maison d’Antoine Bordeleau, « Jazz Pranksters » démontre une maturité acquise après de nombreuses expérimentations avec différents types d’instrumentations et une évolution marquée dans le traitement sonore. Laissant une plus grande place à l’improvisation que sur ses efforts précédents, Boskorgï a choisi de mettre de l’avant de longues boucles aux accents toujours changeants en superposition à d’autres plus courtes. Y’a aussi beaucoup de solos.

    Le duo, dans une volonté de créer avec « Jazz Pranksters » une oeuvre plus collective, s’est enjoint les services de nombreux musiciens établis et émergents de la scène montréalaise et québécoise dont Ariane Moffatt, Hubert Lenoir, Scott Munro (Preoccupations), Guillaume Chiasson (Ponctuation, Bon Enfant, Jesuslesfilles, Blaze Velluto Collection), Jei Bandit, Léonie Gray et Alexis Dionne (Wouf Wouf).

    Biographie

    À force d’études, dissections et expérimentations sur des synthétiseurs analogues, Thomas B. Martin et Antoine Bordeleau ont fini par bâtir l’univers sonore de Boskorgï : une musique ambiante et groovy sur laquelle plane l’influence et la conduite de la Beat Scene de LA, du funk moderne, du jazz et de la soul des années 90.

    En novembre 2017, Boskorgï présentait « Saké’d », un premier EP de sept titres présenté comme une plage continue. Cette production dominée par des basslines groovy, des nappes de synthétiseurs hypnotiques, des beats lancinants et quelques textures hip-hop, pose les fondations d’une signature musicale apaisante et méditative aspirant à toujours évoluer. Ce fut chose faite avec « Acid Nightmare » sur lequel le beat et les échantillonnages de Boskorgï soutenaient le débit de Jei Bandit, donnant un simple qui jouait dans la cour du hip-hop lo-fi. Le duo a subséquemment fait paraître le simple instrumental « Convalescence » en 2018, ouvrant la porte à une nouvelle avenue plus diversifiée au niveau des timbres et du mixage.

    Avec son premier opus complet « Jazz Pranksters », le duo veut démontrer l’expérience acquise dans son studio maison. À travers une instrumentation presque entièrement analogue où les boucles laissent place à de longues pistes ponctuées d’improvisation, Boskorgï présente un son ancré dans une esthétique résolument plus jazzée et expérimentale que ses efforts précédents, laissant transparaître un horizon d’influences encore plus large. Le duo y a collaboré avec de nombreux artistes tels que Hubert Lenoir, Scott Munro (Preoccupations), Ariane Moffatt et Léonie Gray.

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