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    Le festival Métropolis Bleu dévoile sa programmation Festival Metropolis bleu. Photo: Affiche

    Le festival Métropolis Bleu dévoile sa programmation

    6 avril 2019, 00h00
         |     

    La planète va mal ? Trop d’inégalités perdurent dans nos sociétés ? Que disent les écrivains autochtones d’aujourd’hui ? La littérature apporte une réponse à toutes ces questions qui auront guidé la programmation en 2019. Voici donc, en provenance de 20 pays, une remarquable brochette d’écrivains et de penseurs qui changent le monde : romanciers, poètes, philosophes, économistes, musiciens réunis pour l’occasion autour de thèmes puissamment évocateurs comme la lutte contre les inégalités sociales, les littératures autochtones dans le monde, le féminisme ou l’écologie.

    Le Festival Metropolis bleu 2019 se fera en outre l’écho de quelques anniversaires importants : celui des 50 ans de Woodstock, celui des 100 ans qu’aurait eus l’auteure, militante sociale et féministe Simonne Monet-Chartrand, tandis que 2019 marque l’Année internationale des langues autochtones (UNESCO) et des droits des premiers peuples (ONU)...

    Quelques-uns des auteurs qui donneront ses couleurs au Festival en 2019 (liste non exhaustive) :

    • sur la condition animale, l’écologie, l’état de nos sociétés : la grande philosophe française Elisabeth de Fontenay ; l’essayiste et journaliste Aymeric Caron, qui en appelle à un nouveau contrat social entre les formes du vivant ; l’anthropologue québécois Serge Bouchard, la romancière québécoise Suzanne Jacob, le Français Colin Niel et ses polars guyanais ou la Française Sophie Divry qui raconte une France ravagée par une catastrophe nucléaire ;
    • sur le racisme : la journaliste britannique Reni-Eddo Lodge, la romancière canadienne Esi Edugyan, la franco-guadeloupéenne Estelle-Sarah Bulle ;
    • sur les voix autochtones contemporaines qui écrivent en anglais, en français ou en espagnol, mais qui disent aussi la vie en innu avec Joséphine Bacon, en yolnumatha avec Melanie Mununggurr-Williams, en cree avec Darrel J. McLeod, en wathaurong et en yuin avec Bruce Pascoe…
    • sur des mondes à explorer, à rêver, à changer, à raconter : le Canada Argentin Alberto Manguel, l’Espagnol José Manuel Fajardo, l’israélienne Orly Castel-Bloom, le Palestinien Yousef Bashir,l’Italien Gesuimo Nemus.

    Les volets habituels du Festival :

    • Azul : La seconde langue parlée sur la planète, c’est l’espagnol. Une invitation à parcourir le territoire tel que cartographié par Ricardo Cayuela, tel que présent sur les rayonsavec Alberto Manguel, tel qu’entendu à travers les voix latino-canadiennes, tel qu’il a été à Abya Ayala à l’époque précolombienne. Cette année, toute La Mancha est bleu azul.
    • Violet - LGBTQ : La série reviendra sur l’impact littéraire qu’ont eu les émeutes de Stonewall. Elle se penchera sur l’extraordinaire carrière de l’écrivain, producteur et militant John Greyson. Elle mettra à l’honneur un pilier de la littérature canadienne, Dionne Brand, dont l’oeuvre aborde les questions raciales et de genre, la sexualité et le féminisme.
    • Almemar : Cette année la série devient multilingue, en présentant des activités en français, en anglais, en espagnol et en hébreu. On y retrouvera notamment la romancière israélienne Orly Castel-Bloom, trois fois lauréate du Prix du Premier ministre d’Israël et du Prix Sapir en 2016. La table ronde « Jérusalem of the Mind », sponsorisée par Gabriel Safdie, est dédiée à la mémoire du grand écrivain israélien Amos Oz, mort il y a un an. Elle se penchera sur les efforts de rapprochement et pour établir des relations entre Israéliens et Palestiniens.
    • Les Rendez-vous du premier roman (en partenariat avec l’UNEQ et le Festival du premier roman de Chambéry) : Après 20 livres lus et six mois de débats, près de 200 lecteurs des clubs de lecture des Rendez-vous du premier roman ont élu leurs favoris : la Franco-Marocaine Meryem Alaoui et le Québécois Olivier Sylvestre. Venez les rencontrer au Festival.

    Les Prix littéraires :

    Nouveau :

    • Prix Anthony-Atkinson pour l’égalité : l’Américain Joseph E. Stiglitz

    De retour :

    • Grand Prix littéraire international Metropolis bleu : l’Américaine Annie Proulx
    • Premio Metropolis Azul : l’Argentine Claudia Piñeiro
    • Prix Des mots pours changer : la Britannique Reni-Eddo Lodge
    • Prix littéraire des premiers peuples Metropolis bleu : la Canadienne Terese Marie Mailhot
    • Prix littéraire Violet Metropolis bleu présenté par Air Canada : la Canadienne Dionne Brand
    • Prix de la diversité Metropolis bleu / Conseil des arts de Montréal : la Montréalaise d’origine palestinienne Yara El-Ghadban

    Les détails se trouvent dans la brochure du programme et en ligne.

    Cette édition 2019 du Festival vient rappeler que la diversité fait partie de l’ADN de Metropolis bleu. Elle dit aussi que les écrivains sont des acteurs clés de notre société, nous offrant de multiples fenêtres de réflexion ou d’évasion tant dans leurs romans que dans leurs essais.

    Les chiffres du Festival Metropolis bleu

    229 activités ou rencontres – 104 pour les adultes, 125 pour les enfants
    268 participants – 218 au Festival pour les adultes et 49 au Festival pour enfants, s’exprimant en tout dans 17 langues en provenance de près de 20 pays : Canada, France, États-Unis, Royaume-Uni, Israël, Liban, Espagne, Italie, Mexique, Brésil, Allemagne, Argentine, Australie, Maroc, Guadeloupe, Palestine.

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