Gilles Charland.
Photo: Courtoisie
L’AQTIS veut que la culture devienne un pilier de l’économie québécoise
Si 2018 a été une bonne année en termes de quantité de tournages, 2019 s’annonce également bien, tant en ce qui a trait à la production extérieure qu’à la production domestique nationale. Déjà en mars, certains projets avaient démarré, alors que d’habitude les tournages commencent plutôt en mai ou juin, explique Gilles Charland, directeur général de l’AQTIS à Qui fait Quoi. Et puis les négociations se poursuivent avec l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM).