REGARD : Amélie Hardy considère les possibilités cinématographiques du documentaire
À la fin de ses études en cinéma à l’Université du Québec à Montréal (UQÀM), Amélie Hardy se retrouve à effectuer le montage d’« Elle pis son char », un court métrage documentaire de Loïc Darses. Le parcours exceptionnel de ce film propulse les deux collègues dans la sphère professionnelle du cinéma. Dès lors, la jeune femme se découvre un besoin de raconter des histoires, et plus encore, de mettre en images des idées qui lui sont chères. « Train Hopper », court métrage documentaire, naît de ce désir. Qui fait Quoi a discuté avec la cinéaste en marge du Festival REGARD où l’oeuvre était présentée.