«Dying to Survive».
Photo: Image tirée du film
Le wheez kid du cinéma chinois Muye Wemp s’est vu offrir la réalisation de « Dying to Survive » suite au succès de son tout premier court métrage. Son premier long métrage se veut film est rapide, drôle, moderne et farci de rebondissement.
Yong Cheng, le personnage principal, veut faire beaucoup beaucoup d’argent en sauvant le monde. Il trouve une combine qui lui permet d’importer un médicament générique provenant de l’Inde pouvant traiter une forme de cancer. De retour au pays, il fait fortune, jusqu’à ce que tout bascule pour lui et que ses objectifs de richesse se transforment en quelque chose de profondément humain.
Outre ses aspects divertissants, « Dying to Survive » se veut une critique féroce du système qui plonge les familles dans des situations impossibles en fixant les médicaments à des prix vertigineux. Ce qui s’ensuit, c’est l’appauvrissement des familles ou faute de moyens, le difficile constat de connaître à l’avance, la perte d’un être cher.
Depuis sa sortie dans les cinémas, « Dying to Survive » est considéré comme le meilleur film de l’année avec 450 millions $ au box-office chinois. Blockbuster époustouflant Dying to Survive pourrait même avoir une formidable influence sur les politiques intérieures de l’Empire du Milieu.
Synopsis : Après avoir reçu la visite d’un mystérieux personnage, la vie de Yong Cheng, propriétaire d’une boutique de médecine traditionnelle, est bouleversée. Il devient soudain l’agent exclusif d’une drogue piratée, obtenue d’un détaillant d’aphrodisiaques en faillite. En réalisant un joli profit, non seulement sa vie change, mais il est surnommé le « dieu de la médecine » par ses clients.
Le film est projeté le samedi 1er septembre à 16 h 30 avec sous-titres anglais et le dimanche 2 septembre à 19 h avec sous-titres français au Cinéma Impérial dans le cadre du 42e Festival des films du monde.
