Le « Combat contre la langue de bois » est en retour le 26 avril à La Tulipe
C’est le retour du fabuleux, incontournable et inimitable Combat contre la langue de bois qui en est à sa 11e édition le jeudi 26 avril 2018 à 20h
à La Tulipe. Lors de cet événement hors-norme, 11 personnalités monteront sur scène pour parler d’un sujet de leur choix, de l’intime au politique. Elles seront invitées à combattre leur propre langue de bois et à dire ce qu’elles pensent vraiment.
L’impressionnante « brochette » de combattants :
- Françoise David (femme engagée et ex-députée de Québec Solidaire)
- Léane Labrèche-Dor (comédienne, humoriste)
- Pénélope McQuade (animatrice de radio et de télévision)
- François Cardinal (éditorialiste en chef à La Presse)
- Simon Boulerice (auteur, comédien, chroniqueur)
- Marie-France Bazzo (productrice, animatrice)
- Régine Laurent (ex-présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec)
- Annie Lambert (camelot et journaliste au magazine L’Itinéraire)
- Guy Sioui Durand (artiste et sociologue de la Nation huronne-wendat, commissaire indépendant et performeur)
- Pascale Drevillon (comédienne et performeuse)
- Jérôme Minière (musicien et chanteur)
Les règles sont strictes : parler durant 5 minutes, pas de droit de réplique, pas de débat, pas d’excuses par la suite. Entre les discours, un band de musiciens chevronnés permet de faire les transitions et de maintenir l’atmosphère électrique, avec l’aide d’un animateur irrévérencieux : le comédien Stéphane Crête, un habitué du combat.
Attention, on ne demande pas aux invités d’avoir un sujet choc ou de faire un coup d’éclat. On recherche plutôt la sincérité et l’authenticité, deux valeurs très importantes pour la compagnie Les Filles électriques et sa directrice D. Kimm..
Rappelons que le « Combat contre la langue de bois » a été créé en 2005 à l’initiative de D. Kimm dans le cadre du Festival Voix d’Amériques. Elle en avait marre des discours remâchés, des cassettes usées et de la panoplie d’excuses chaque fois qu’une personnalité sort de sa zone de confort. Voilà pour la petite histoire. Qui aurait cru que cet événement audacieux et hors-norme allait devenir un spectacle-culte et une tribune pour l’audace et la liberté d’expression. On n’y recherche pas le consensus, au contraire. L’objectif est de faire entendre des points de vue différents. C’est ce qui fait du « Combat contre la langue de bois » un événement unique, audacieux et festif.