CONNEXION

  • Abonnement
  • Publicité
  • Contact
  • Guide industrie
  • Vidéos
  • Podcasts
  • magazine CONVERGENCE
  • Boutique
  • Numérique
  • Jeux Vidéo
  • Mobile
  • Animation
  • Informatique
  • Arts Médiatiques
  • Marketing
  • Musique
  • Industrie
  • Réalité virtuelle
  • Intelligence artificielle
  • Startups
  • Artisans du numérique
  • Conseils d’experts
  • Exclusifs
  • SUIVEZ-NOUS

    RSS

    RECEVEZ GRATUITEMENT
    LE BULLETIN QUOTIDIEN [voir un exemple]

    Le FICFA dévoile la programmation de son volet Arts médiatiques Angèle Cormier. Photo: VAM

    Le FICFA dévoile la programmation de son volet Arts médiatiques

    2 novembre 2017, 07h15
         |     

    En plus des films et des activités parallèles, le Festival international du cinéma francophone en Acadie offre un volet Arts médiatiques (VAM) qui englobe un atelier de formation, deux expositions, une projection et trois rendez-vous devenus cultes : les soirées Acadie Underground, Objectifs obliques et Séances éphémères. Celle-ci revient d’ailleurs sous une nouvelle forme pour le plus grand plaisir de ses habitué(e)s.

    Le VAM est programmé par la commissaire Angèle Cormier, en collaboration avec la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen et la Galerie Sans Nom. Elle a pour objectif de favoriser les rencontres créatives via des résidences ou des projets à contraintes et permet de créer des liens dans la communauté dont la générosité, le réseau et les talents sont souvent mis à contribution.

    Il est important de noter que plusieurs des travaux produits par le VAM ont fait partie de la sélection Talent tout court de Téléfilm Canada au Marché du Film du Festival de Cannes et d’autres sont présentés dans des festivals un peu partout à travers le monde.

    Angèle Cormier rappelle toutefois qu’autant ces projets de création sont aujourd’hui une marque de fabrique du FICFA reconnue dans l’industrie, autant les ressources pour les mettre en oeuvre restent dérisoires : « en attendant de pouvoir offrir des moyens plus importants et sur le long terme, nous avons la chance d’avoir un commanditaire qui nous prête du matériel pour les tournages et de fidèles organismes qui sont partenaires des expositions ». Elle ajoute que « pour pallier au manque de formation, un atelier sur la conception de A à Z d’un projet d’art médiatique sera proposé aux débutants comme aux professionnels ».

    Acadie Underground : 21e édition

    Accessible à tous ceux qui veulent participer, le tournage en Super 8 demeure probablement la meilleure manière de découvrir l’art du cinéma. Lors du tournage, il n’y a pas de « undo » ou de « delete », il faut donc planifier chaque séquence et, dans le cas d’Acadie Underground, il n’y a pas de montage alors il n’y a pas de deuxième ou de troisième prise. Les films sont projetés comme ils ont été tournés. Depuis 21 ans, c’est la soirée fétiche des festivaliers, la salle est toujours pleine à craquer ! On pourrait estimer qu’environ 300 films ont été réalisés à ce jour.

    Cette soirée est présentée grâce à la collaboration de la Galerie Sans Nom et comprend la remise du Grand prix offert par Struts Gallery et le Faucet Media Arts Centre. Elle aura lieu le vendredi 17 novembre à 21h à la salle Bernard-LeBlanc du Centre culturel Aberdeen (6$). Comme chaque année, on découvrira les noms des participants en même temps que leurs films. La soirée se poursuivra au rythme de la musique de DJ Jaredactyl.

    Séances éphémères : Musique improvisée pour films muets

    Dans l’esprit de renouveler notre soirée de performances audiovisuelles, nous retournons vers le passé. Cette soirée unique célèbre le mariage entre le cinéma et la musique, à l’image d’une époque où les films n’avaient pas de trame sonore et que celle-ci était jouée en direct par des musiciens pendant la projection. On découvrira les films muets, réalisés spécialement pour cette soirée, de Paul Arseneau, Paul Bossé, Julie Frigault, Emmanuelle Landry et Becky Parsons. Un orchestre composé des musiciens Marc Chops Arsenault (direction musicale), Chris Belliveau, Brian Coughlan, Andrew Creeggan et Jean Surette jouera simultanément durant les projections.

    Cette soirée aura lieu le samedi 18 novembre à 21h à la salle Bernard-LeBlanc du Centre culturel Aberdeen (10$). Elle sera animée par Réjean Claveau, dans le cadre d’un partenariat avec Radio-Canada).

    Objectifs obliques : 7e édition

    Sept équipes de deux personnes sont assemblées pour réaliser un court métrage à partir d’une « stratégie » cryptique, tirée au hasard des Stratégies obliques, un jeu de cartes conçu en 1975 par Brian Eno et Peter Schmidt. Certains participants ont de l’expérience en cinéma ou en arts médiatiques, certains sont graphistes, artistes visuels ou musiciens, d’autres sont comédiens ou écrivains. On découvrira les oeuvres inédites de Dominique Léger et Louis-Philippe Chiasson, Catherine Arseneault et Jeremie Boudreau, André Melanson et Chris LeBlanc, Marie-Michelle Haché et Annie France Noël, Angie Richard et Marc Chamberlain, Blake Morin et James Fitzgerald, Monica Bolduc et Eric Arsenault.

    Cette soirée aura lieu le mardi 21 novembre à 19h30 à la salle Bernard-LeBlanc du Centre culturel Aberdeen (10$). La soirée sera animée par Philip André Collette qui s’entretiendra avec les réalisateurs suite à la projection des films.

    Exposition présentée par la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen : « Territoire (land) » d’Antoine Amnotte-Dupuis, Hannah Claus et Mariana LaFrance

    « Territoire (land) » est une exposition qui réfléchit au territoire dans le contexte de l’histoire coloniale du Canada. Pendant que l’environnement audiovisuel de l’oeuvre « Agencements » d’Antoine Amnotte-Dupuis met en scène la majesté du paysage boréal et subarctique de la Baie-James, l’installation « interlacings » de Hannah Claus s’inspire d’un tapis de William Morris, célèbre designer de textiles britannique. Dans l’oeuvre de Mariana Lafrance, une tasse de thé en porcelaine dans un paysage boisé fait l’objet d’une investigation et engendre des réactions qui s’enchaînent. Trois paraboles en images qui suggèrent une réflexion sur la notion de territoire et de souveraineté dans un contexte de prise en compte de notre passé collectif.

    Le vernissage aura lieu le vendredi 17 novembre à la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen de l’Université de Moncton de 16h à 18h (entrée libre). L’exposition sera en montre jusqu’au 17 décembre 2017.

    Exposition présentée par la Galerie Sans Nom : « Sous—sols » de Gabriel Fortin. « Portraits en super 8 » de Julie Forgues, Carole Deveau, Angie Rochard, Annie France Noël, Rémi Belliveau, David Gregory et Linda Rae Dornan. « Lasart : en simultané, 35 ans plus tard » de l’artiste-commissaire Elise Anne LaPlante

    La série de cinq portraits vidéo « Sous‐sols » a été réalisée à l’aide des technologies de vidéo analogique du VHS (Video Home System). Quelque part entre le cinéma, la vidéo et la photographie, le travail de Gabriel Fortin est fortement inspiré par le portrait et le tableau vivant. Brouillant les codes temporels, la fiction et la réalité, les portraits donnent une impression de décalage.

    Façonnés par la richesse de la pellicule, sept courts portraits en Super 8 ont été filmés en novembre 2016. Ils dépeignent des individus uniques et intrigants, que ce soit un grand-parent, un ami ou l’artiste lui-même. Développés à la main au Centre culturel Aberdeen lors d’un atelier offert par le VAM l’année dernière, ces films révèlent les imperfections et le charme de ce processus. (Présenté dans l’espace audio-vidéo de la GSN)

    « Dérouler l’archive : LASART » (1982) revisité est un projet d’artiste-commissaire créé, dans un premier temps, à partir des archives de la Galerie Sans Nom (Moncton, N.-B., 2015) et des archives du centre d’art actuel Langage Plus (Alma, QC, 2016-2017). Ce projet est une rencontre entre la recherche historique et la recherche artistique avec le travail de commissaire et d’archiviste comme pont entre les deux.

    Le vernissage aura lieu le vendredi 17 novembre à la Galerie Sans Nom de 18h à 20h (entrée libre). L’exposition sera en montre jusqu’au 22 décembre 2017.

    À noter que le vernissage de « Dérouler l’archive » aura lieu au même moment au centre d’art actuel Langage Plus à Alma, QC, les deux centres seront donc à nouveau réunis en simultané par la communication technologique. Les gens présents à chacun des vernissages seront invités à communiquer entre eux par les moyens virtuels de nos jours.

    Approches DIY à la création en arts médiatiques, de l’idée à l’exécution

    Dans un contexte théorique et pratique, les formateurs Étienne Boivin et Annie France Noël partageront leurs expériences, connaissances et approches face à la création en cinéma et en arts médiatiques. Ils toucheront aux notions de base de la création, passant de la direction photo, à la planification et à l’exécution de tournages.

    La formation aura lieu le dimanche 19 novembre de 10h à 17h30. Le public ciblé est les artistes visuels et multidisciplinaires qui souhaitent intégrer les arts médiatiques dans leurs pratiques ainsi que les artistes en arts médiatiques qui veulent élargir leurs connaissances et participer à la discussion. Gratuit, inscription recommandée : (506) 855-6050.

    Projection du film « BGL de Fantaisie » de Benjamin Hogue ; Canada (Québec) ; 2017 Documentaire d’auteur ; 83 min

    Après vingt ans de carrière, le collectif en art contemporain BGL (Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière) se voit confier la réalisation de trois projets d’envergure. Le défi est de taille : produire deux oeuvres d’art public monumentales – une à Montréal et l’autre à Toronto – et représenter le Canada à la 56e Biennale de Venise. Le moment ne pouvait être mieux choisi pour braquer la caméra sur le trio fantaisiste et jeter du même coup un regard rétrospectif sur une oeuvre prolifique et déroutante. Un documentaire aux allures de conte, où s’entremêlent humour, extravagance, onirisme et camaraderie.

    Le film sera présenté le mercredi 22 novembre à 16h30 en V.O. française/anglaise S.-T. anglais et le jeudi 23 novembre à 12h en V.O. française/anglaise S.-T. français à l’amphithéâtre de la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen de l’Université de Moncton (entrée libre).

    Le Festival international de cinéma francophone en Acadie (FICFA), est organisé par Film Zone Inc., un organisme sans but lucratif qui a pour mission de promouvoir et de rendre accessible le cinéma de la Francophonie internationale aux francophones et francophiles de l’Atlantique tout en faisant connaître le cinéma acadien en Acadie et dans la Francophonie.

    Sur le même sujet

    Intéressé.e à reproduire un article, une photo ou une vidéo ?

    En bénéficiant de notre licence de reproduction, vous pourrez :

    • publier un article dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • en modifier la longueur
    • recevoir les photos (et vidéos, si applicable) en haute résolution
    • publier les photos (et vidéos, si applicable) dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • le contenu devient public sur notre plateforme, ce qui vous octroie encore plus de visibilité

    Sous réserve que les droits sur les contenus que vous souhaitez reproduire (textes, photos ou vidéos) nous appartiennent.

    DERNIERS ARTICLES

    MUTEK et la SAT annoncent une alliance stratégique

    MUTEK et la SAT annoncent une alliance stratégique

    Suite
    28 mars 2024, 03h00
    « Dans les médias » décerne ses prix

    « Dans les médias » décerne ses prix

    Suite
    28 mars 2024, 01h00
    L’ONF participe à Hot Docs avec 7 documentaires

    L’ONF participe à Hot Docs avec 7 documentaires

    Suite
    28 mars 2024, 01h00