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    L’Agora de la danse et Tangente présentent « Dansu », un programme japonais jusqu’au 28 octobre Kaori Seki, «Amigrecta». Photo: GO

    L’Agora de la danse et Tangente présentent « Dansu », un programme japonais jusqu’au 28 octobre

    19 octobre 2017, 08h23
         |     

    Pour ouvrir un nouveau chapitre de leurs existences respectives, l’Agora de la danse et Tangente présentent, « Dansu », un programme d’exception commissarié par Diane Boucher qui réunit trois jeunes artistes/compagnies du Japon, du 18 au 28 octobre 2017.

    Après la venue à Montréal de plusieurs représentants de la danse butoh – Kazuo Ohno, Sankai Juku (Ushio Amagatsu), Yoshito Ohno, Muteki-Sha, Tanaka Min, etc. - et du pionnier de la danse contemporaine nippone Saburo Teshigawara (compagnie Karas), « Dansu » introduit une nouvelle génération d’artistes actuels. Trois compagnies aux esthétiques distinctes et singulières donnent un aperçu de la relève chorégraphique au Japon.

    Kaori Seki développe un travail sur la lenteur, les odeurs et une forme unique de mouvements primitifs. Connu pour son approche très incarnée du texte, Zan Yamashita de Kyoto met ici en scène le danseur Kim Itoh dans une performance à la forte présence physique. Mikiko Kawamura, l’enfant terrible de la danse issue de la « street dance », qui crée la matière vidéo et musicale de la plupart de ses pièces, livre un solo d’une énergie foudroyante, teinté de culture pop.

    Audace, contemporanéité, et présence dans l’espace sont au rendez-vous dans cette programmation qui permettra de faire connaître une autre facette de la danse japonaise à Montréal tout en faisant bénéficier le milieu québécois de la présence de ces chorégraphes à travers des activités, ateliers, de projections de films, etc.

    Ce programme a été rendu possible grâce à la collaboration du Festival Dance New Air (Dance Nippon Associates), de la Délégation générale du Québec à Tokyo et du Consulat Général du Japon à Montréal. L’événement est présenté avec le soutien du Conseil des arts et des lettres du Québec et de la Japan Foundation.

    « Amigrecta » - Kaori Seki - 18 au 20 octobre - 19h30 + 21 octobre 2017 - 17h

    D’un passé qui ne sera jamais retrouvé à la possibilité de nouvelles rencontres, « Amigrecta » est une réflexion sur la vie et la mort, et sur ces choses en danger, qui pourraient disparaitre à jamais.

    Une oeuvre qui résulte d’une triste constatation : tant de choses sont en danger et pourraient disparaitre à jamais. L’artiste japonaise Kaori Seki, qui développe un travail sur la lenteur, les odeurs et une forme unique de mouvements primitifs, a créé cette oeuvre suite aux malheureux événements survenus dans son pays, causés par la fusion d’un réacteur nucléaire et la contamination radioactive de la région. De là, en découle une chorégraphie forte où deux genres se confrontent : ceux qui voient un passé qui ne sera jamais retrouvé et ceux qui perçoivent la possibilité de nouvelles rencontres.

    Kaori Seki commence sa formation en ballet classique avant de se tourner à la danse contemporaine à dix-huit ans. En 2013, elle fonde sa propre compagnie PUNCTUMUN. L’artiste crée des pièces faisant appel aux stimuli sensoriels des spectacteurs en utilisant odeurs et parfums. Elle souhaite toucher le spectateur de façon directe, en réduisant l’espace entre les interprètes et le public. En 2012, elle gagne le prix de l’Ambassade française pour les jeunes chorégraphes, accédant à une résidence de quatre mois au Centre national de danse contemporaine – Angers. Elle a aussi reçu d’autres prestigieux prix dont le Toyota Choreography Award en 2012, le Japan Dance Forum Award en 2016 et est boursière de la Saison Foundation depuis 2014. Ses récentes oeuvres incluent Miroedetut (2014), WO CO (2016) et Utu ri (2017).

    Mikiko Kawamura, « Alphard ». Photo : Bozzo

    « Alphard » - Mikiko Kawamura - 18 au 20 octobre - 18h30 + 21 octobre 2017 - 16h

    Saluée par la critique, cette oeuvre délicate et puissante place Mikiko Kawamura au coeur de la scène, voyageant et dansant au travers de cet espace. Une oeuvre puissante qui confère à la lumière une place toute spéciale. Par son titre poétique, évoquant l’étoile la plus brillante de la constellation Hydra. Par la mise en scène, créée par l’artiste elle-même, divisant l’espace en neuf carrés, séparés les uns des autres par les éclairages au sein desquels Mikiko Kawamura voyage et danse.

    Mikiko Kawamura est une étoile montante de la danse contemporaine japonaise. Elle entame sa carrière par la « street dance », dans le quartier Shinjuku de Tokyo. L’artiste signe la conception sonore, les éclairages et la scénographie dans un processus pluriel et expérimental. Elle cherche à mettre en chorégraphie des univers parallèles et alternatifs. Malgré son jeune âge, elle a gagné de nombreux prix, dont le Yokohama Dance Collection 2011 (chorégraphe émergente), le Japan Dance Forum en 2013 et en 2014, le Next Generation Choreography Award et le prix du Public lors des Toyota Choreography Award. Son travail a été présenté entre autres, à la Dance Triennale Tokyo, au Malta Festival Poznan, Pologne, au Perforations Festival à Zagreb en Croatie, en Corée et au Vietnam.

    Yamashita Zan Yamashita, « Itoh ». Photo : ST Spot

    « Namae Ga Nai » - Zan Yamashita - 25 au 27 octobre - 19h30 + 28 octobre 2017 - 16h

    Rencontre au sommet ! Zan Yamashita, reconnu pour son utilisation unique du texte et Kim Itoh, figure de proue de la danse contemporaine japonaise. Depuis les années 90 au Japon, s’est développée une esthétique de danse contemporaine appelée : « la troisième génération du Butoh ». Dans cette forme, danseurs et chorégraphes, ici Zan Yamashita et Kim Itoh, sont plus inspirés par le quotidien des gens que par la représentation d’histoire de cycles transcendantaux, tout en conservant un message politique sous-jacent. Connu pour son approche très incarnée du texte, Zan Yamashita met ici en scène le danseur Kim Itoh dans une performance à la forte présence physique.

    Né en 1970, Zan Yamashita commence sa carrière de chorégraphe et metteur en scène dans les années 1990. Il est lauréat du prix pour les arts de la scène du centre des arts de Kyoto en 2004. Il a créé plusieurs pièces expérimentales dont une mêlant danse et mots, et une autre où il déplace le matériel sur scène. Son travail a été présenté entre autres, au Live Arts Bangkok (Thaïlande, 2007), au Kunstenfestivaldesarts (Belgique, 2008), au Istanbul International Contemporary Dance and Performance Festival (Turquie, 2009), au Postmainstream Performing Arts Festival (Japon, 2010) et au Festival Dance New Air (Japon, 2014), etc. Yamashita travaille aussi comme danseur, interprète et acteur, et collabore avec des artistes d’autres pays dont le danseur thaïlandais Pichet Klunchun et le réalisateur malaisien Fahmi Fadzil.

    Ciné-Danse - Saburo Teshigawara - du 25 au 28 octobre - 18h

    • Deux programmes de films et vidéos réalisés par le chorégraphe Saburo Teshigawara.
    • Pour en savoir plus : agoradanse.com
    • Billetterie : 514-525-1500

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