Sophie Bienvenu découvre l’écriture cinématographique avec « Et au pire, on se mariera »
Originaire de la Belgique, Sophie Bienvenu s’installe au Québec en 2001. Ses billets de blogues sont publiés sous le recueil « Lucie le chien » en 2006 et la jeune auteure est rapidement remarquée. C’est en 2011 que la consécration se produit avec « Et au pire, on se mariera », roman coup de poing où elle raconte le récit d’Aïcha, une adolescente de treize ans qui tombe éperdument amoureuse d’un garçon qui a le double de son âge. Six ans plus tard, la romancière assiste au fruit de sa collaboration scénaristique avec la cinéaste Léa Pool où elles portent à l’écran le monologue déchirant de son héroïne. Qui fait Quoi l’a rencontrée pour en discuter davantage.