Après « Et au pire, on se mariera » François Tremblay est prêt à renouveler son expérience de coproduction
C’est une relation de confiance et d’admiration que François Tremblay a développée au fil des ans auprès de Léa Pool. Après trois longs métrages (« Maman est chez le coiffeur », « La dernière fugue » et « La passion d’Augustine ») produits par Lyla Films, le producteur s’est lancé dans l’aventure de « Et au pire, on se mariera », l’adaptation cinématographique du roman de Sophie Bienvenu, avec une foi absolue en l’humanité et la sensibilité que confèrerait la cinéaste à ce récit coup de poing. Qui fait Quoi s’est entretenu avec le vice-président de la boîte de production à propos de ce projet coproduit avec la Suisse.