La caméra de Philippe Arsenault immortalise un processus artistique
Le plus récent court métrage de Philippe Arsenault, « Le Hibou-roc de Riopelle », se distingue de la signature habituelle du réalisateur, souvent teintée d’une touche d’humour. Situé à mi-chemin entre le film d’art et le documentaire plus conventionnel, le court métrage s’intéresse autant à l’oeuvre du célèbre artiste québécois, Jean-Paul Riopelle, qu’au procédé de la fonderie. Le tout amalgamé dans un film d’ambiance où les plans atmosphériques et contemplatifs succèdent aux images d’archive et entrevues traditionnelles. Rencontre avec le réalisateur et directeur de la photographie à Chicoutimi dans le cadre de Regard où son film était récemment en compétition nationale.