Maritza présente l’album « Libérons-nous », et dévoile le vidéoclip de son extrait « Avant »

L’artiste possède un parcours de vie qui ne manque pas de l’inspirer. Originaire de la République dominicaine, elle fait partie de la première vague d’adoption à l’international. « Libérons-nous » se veut le résultat d’un processus d’unification de ses identités. On y retrouve un soul inspiré des chants d’esclaves sur « Le Diable à mes trousses », une chanson en espagnol en l’honneur de son héritage dominicain (« Nuestro Mundo ») et des sonorités infusées de l’indie-rock des Cat Power et Feist de ce monde.

Pour concevoir ce projet, Maritza s’est entourée de José Major à la réalisation et à la batterie, de Philippe Brault à la basse, de Benoit Morier et d’André Papanicolaou aux guitares, de François Richard aux claviers et de Marise Demers aux percussions.

Entièrement indépendante au moment d’enregistrer l’album, Maritza a eu recours au sociofinancement pour amasser le montant nécessaire à la production de celui-ci, avant de se tourner vers Ste-4 musique pour un contrat en licence. Cette manière d’oser est tout à fait à l’image de son nouvel extrait « Avant », qui fait l’éloge du moment présent et de la liberté.

« C’est une invitation à vivre pour vrai, pendant qu’on est encore en vie. À sortir de nos carcans et de nos peurs. À rêver ! », explique Maritza.

L’extrait s’accompagne d’un vidéoclip chargé de poésie, réalisé par Jean-Vital Joliat (JeanVital Films) et présenté sur le site Web du magazine Voir. Le vidéoclip met en scène des danseurs à qui le personnage coloré et mystérieux qu’incarne Maritza semble insuffler la vie. Libérons-nous est en vente dès maintenant en magasin et sur iTunes et se retrouve en écoute intégrale sur ICI musique.

L’album a été lancé à Montréal le 28 février au Lion d’Or, dans le cadre de Montréal en lumière ainsi que le 1er mars, au District Saint-Joseph, dans le cadre des apéros FEQ.