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    La performance « Leila’s Death » d’Ali Chahrour présentée au MAI les 23 et 24 septembre «Leila’s Death». Photo: Ali Chahrour

    La performance « Leila’s Death » d’Ali Chahrour présentée au MAI les 23 et 24 septembre

    21 septembre 2016, 00h05
         |     

    Présenté au prestigieux Festival d’Avignon, cet été, puis au Time-Based Art Festival à Portland, « Leila’s Death » débarque dans la métropole et poursuit sa tournée mondiale jusqu’en 2017. Production criante d’actualité, l’œuvre du chorégraphe libanais Ali Chahrour convie le public à une cérémonie de la mort, basée sur des notions de martyr, de mort héroique et met notamment en scène Leila, une pleureuse professionnelle.

    Au Liban, les pleureuses ne sont plus nombreuses. On les trouve encore au sud du pays et dans la plaine orientale de la Bekaa. Elles sont pourtant la pierre angulaire d’un rituel aussi religieux que social : les condoléances. Au cours de ces cérémonies pour lesquelles elles composent des poèmes à la mémoire de disparus, elles les disent en se lamentant, déterminées à faire pleurer leurs proches dans la grande tradition chiite.

    Les performances de « Leila’s Death » sont présentées au centre MAI - Montréal, arts interculturels en association avec le Festival du Monde Arabe de Montréal.

    Le chorégraphe libanais Ali Chahrour présente une cérémonie de la mort, où le personnage principal, Leila (pleureuse professionnelle), chante sa peine dans une ataba (une complainte). Basée sur des notions de martyr et de mort héroïque, cette oeuvre de Chahrour interroge le rapport entre le corps et la religion. En présence des musiciens Abed Kobeissi et Ali Hout, « Leila’s Death » emprunte des éléments de chant et de poésie élégiaques traditionnels réactualisant ainsi un héritage culturel en voie de disparition.

    Diplômé de l’école de théâtre au Liban, Ali Chahrour poursuit des recherches sur les rapports possibles entre un environnement politique et culturel empreint de religion et les enjeux et techniques de l’art contemporain. Si, dans son travail, il emploie la danse comme outil afin d’examiner les contraintes religieuses à l’expression, ce n’est pas simplement pour braver les interdits, mais pour situer l’art au cœur même de la religion et du rituel.

    Une discussion animée par Nika Khanjani suivra la représentation du vendredi 23 septembre.

    « Leila’s Death »

    • 23 et 24 septembre 2016, 20h
    • MAI (Montréal, arts interculturels)
    • www.m-a-i.qc.ca
    • Chorégraphie et mise en scène : Ali Chahrour
    • Interprétation : Ali Chahrour et Leila
    • Assistante à la mise en scène : Haera Slim
    • Musiciens : Ali Hout et Abed Kobeissi
    • Conseiller à la dramaturgie : Junaid Sariedeen
    • Scénographie : Nathalie Harb
    • Conception d’éclairage : Guillaume Tesson
    • Costumes : Bird on A Wire et Creative Space
    • Production : Haera Slim

    Tarifs (taxes incluses)

    • 25 $ Régulier
    • 20 $ Réduit (professionels des arts, Aînés, Étudiants, Détenteurs de carte Accès Montréal, Membres du DAM, ELAN)
    • 17 $ Groupe (10+) 14 $ 14 ans et moins
    • 60 $ Passeport 4/4 : 4 spectacles pour 60 $. Un maximum de 2 billets par spectacle
    • Billetterie : 514 982-3386

    Source : MAI (Montréal, arts interculturels)

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