Le grand enjeu des effets visuels et de l’animation : la main-d’oeuvre
Le secteur de l’animation et des effets spéciaux se porte bien. Très bien même. C’est le constat qui ressort du Diagnostic des besoins de main-d’oeuvre et d’adéquation réalisé par le Conseil emploi métropole et le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ). Le secteur des services de production d’effets visuels connaît la plus forte progression de l’ensemble des activités de la grappe audiovisuelle avec une croissance de 27% par année, passant, de 2009 à 2014 de 42 à 139 millions $. Il génère à lui seul 8,6% du volume de production de la grappe audiovisuelle au Québec. L’économiste François Bédard a expliqué les grandes lignes de ce diagnostic devant la presse et des membres de l’industrie.