Sortie de « Dropsy the Clown » le 10 septembre prochain

Pleine de personnages hauts en couleur, d’intrigues touffues et de secrets enfouis, l’aventure de Dropsy adopte une approche assez peu conventionnelle du genre point and click. En offrant un maximum de câlins sur la route, le clown choisit en effet sa propre voie dans un monde ouvert foisonnant. Le joueur est ainsi libre de résoudre les puzzles et de poursuivre l’histoire dans l’ordre qui lui sied, ce qui s’avère – avouons-le – beaucoup plus funky que les habituels chemins balisés trop souvent empruntés dans les jeux d’aventure.

C’est pas moi c’est Dropsy

Mis en cause dans un regrettable incendie de cirque meurtrier, Dropsy s’engage dans un parcours initiatique rédempteur qui le projette sur la route de compagnons d’infortune étranges et farfelus. Les habituels arbres de dialogues cèdent la place à un habile système d’icônes visuels, qui troquent l’explicite contre le figuratif. Une manière particulièrement sensible de témoigner de l’introspection zygomatique de ce trublion du rire complètement désoeuvré. Sur la tangente entre amour et pardon, Dropsy cherche sa place dans la communauté, un filigrane de la société dans son ensemble. Des énigmes géographiques, des puzzles mettant au jour de sombres et honteux secrets tirés du passé, des objets hétéroclites à récolter au passage : Dropsy a du pain sur la planche, même s’il peut se targuer de parler aux animaux. Imaginez Ace Ventura sous antidépresseurs.

« Le premier million de joueurs à acheter "Dropsy" se verra gratifié d’un certificat lui assurant de jouir d’un câlin gratuit par le développeur Jay Tholen » vante Fork Parker, CFO pour Devolver Digital. « Personne ne me fait de câlin par contre. Les joueurs me rebutent au plus haut point ».

Les amateurs de clowns maladroits et de jeux Devolver Digital peuvent suivre toutes les informations sur le jeu à cette adresse : www.dropsytheclown.com. @DropsyTheClown marche aussi sur Twitter.