L’abonnement à Qui fait Quoi comprend:

  • 250 numéros du Quotidien Qui fait QUoi
  • Mot de passe pour www.qfq.com
  • Revue Qui fait Quoi: 10 numéros par an
  • Revue Qui fait Quoi: Archives et hors série
  • 1 Guide annuel Qui fait Quoi
  • Accès au Guide de la production
  • 1 Guide QfQ COPRODUCTION
  • 1 Hors série Inclusion / Diversité

CONNEXION

  • Abonnement
  • Publicité
  • Contact
  • Guide annuel QfQ
  • Vidéos
  • Podcasts
  • Revue Qui fait Quoi
  • Boutique
  • Télévision
  • Cinéma
  • Scène • Théâtre
  • Musique
  • Animation • VFX
  • Communications
  • Industrie
  • COPRODUCTION
  • INCLUSION • DIVERSITé
  • DOCUMENTAIRES
  • TECHNOLOGIES
  • FORMATION • EMPLOIS
  • EXCLUSIFS
  • SUIVEZ-NOUS

    RSS

    RECEVEZ GRATUITEMENT
    LE QfQ en bref [voir un exemple]

    Docville : « The Machine which Makes Everything Disappear » «The Machine Which Makes Everything Disappear». Photo: RIDM

    Docville : « The Machine which Makes Everything Disappear »

    28 août 2013, 17h51
         |     

    Après une courte pause, Docville est de retour ce jeudi 29 août, à 20 h. Ce sera l’unique chance de voir « The Machine Which Makes Everything Disappear » de la jeune réalisatrice Tinatin Gurchiani, présenté en première québécoise au Cinéma Excentris. La projection sera suivie d’une séance de questions et réponses par Skype avec la cinéaste.

    « The Machine Which Makes Everything Disappear » a remporté de nombreux prix, dont celui de la Meilleure réalisation en compétition internationale au festival de Sundance, le Prix des cinéastes à Hot Docs et le Prix du meilleur documentaire international à It’s All True International Documentary Film Festival (Brésil).

    En Géorgie, un casting commence. De jeunes gens défilent, intimidés, endimanchés, ou cabotins. Ils rêvent de faire du cinéma. Ils rêvent aussi d’autres choses, d’ailleurs, de demain, et c’est ce sur quoi la cinéaste les interroge. Organiser un casting a permis à Tinatin Gurchiani d’aller à la rencontre de la jeunesse géorgienne : le projet fictif d’un tournage se transforme alors en film réel. Au gré des rencontres, certains liens se tissent, et le film se met à vagabonder, en accompagnant celle-ci à son mariage ou celui-là dans son village. Les personnages se dévoilent alors dans la réalité de leurs vies, offrant une nouvelle perspective aux paroles qu’ils avaient choisies pour se présenter devant la caméra. The Machine Which Makes Everything Disappear est ainsi un portrait par petites touches d’un pays et de sa jeunesse. Un portrait tout en délicatesse, imprégné de mélancolie, mais aussi porté par l’impressionnante envie de vivre de ses jeunes « acteurs ».

    Plus d’information sur la page Docville.

    Sur le même sujet

    Intéressé.e à reproduire un article, une photo ou une vidéo ?

    En bénéficiant de notre licence de reproduction, vous pourrez :

    • publier un article dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • en modifier la longueur
    • recevoir les photos (et vidéos, si applicable) en haute résolution
    • publier les photos (et vidéos, si applicable) dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • le contenu devient public sur notre plateforme, ce qui vous octroie encore plus de visibilité

    Sous réserve que les droits sur les contenus que vous souhaitez reproduire (textes, photos ou vidéos) nous appartiennent.

    DERNIERS ARTICLES

    Makenzie dévoile la pièce « Flip a Coin »

    Makenzie dévoile la pièce « Flip a Coin »

    Suite
    19 avril 2024, 00h00